 | Léon Contanseau - 1862 - 572 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. " Votre compassion," lui répondit l'arbuste, " Part... | |
 | Alfred G. Havet - 1863 - 508 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste." — "Votre compassion," lui répondit l'arbuste, "Part... | |
 | Anselme Ouradou - 1864 - 448 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du verit. La nature envers vous me semble , bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste,... | |
 | Léon Contanseau - 1865 - 592 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. " Votre compassion," lui répondit l'arbuste, " Part... | |
 | Album - 1866 - 318 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir: Je vous défendrais de l'orage; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste!" — ,, Votre compassion," lui répondit l'arbuste, ,,Part... | |
 | Jean de La Fontaine - 1867 - 640 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent '. La nature envers vous me semble bien injuste *. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part... | |
 | Alfred G. Havet - 1867 - 280 oldal
...feuillage Dont je oouvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant a souffrir ; Je vous defendrais de 1'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste." — " Votre compassion," lui repondit 1'arbuste, " Part... | |
 | Alfred G. Havet - 1868 - 316 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. 1. ('. e. , Pendant ou tandis. 2. Le Caucase, haute montagne d'Asie, située entre la mer Noire et... | |
 | Jean de La Fontaine - 1868 - 780 oldal
...couvre le voisinage , Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrois de l'orage; .M; lis vous naissez le plus souvent . Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
 | L. Pylodet - 1869 - 240 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez, le plus souvent, Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.— Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
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Encor, si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble... 
