| Patrice-François-Marie Cruice - 1840 - 406 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir, Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez, le plus souvent, Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
| François Noel - 1840 - 652 oldal
...défendrais de l'orage : Je. . . Qu'il ya de plaisir ii se donner soi-même pour quelqu'un qui protège! Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. te tour est poétique, et même de la haute poésie ; ie qui ncmessied pas dans la bouche du Chêne.... | |
| Jean de La Fontaine - 1840 - 724 oldal
...Dont je couvre le voisinage , Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : s B) La nature envers vous me semble bien injuste. ^ otre compassion , lui répondit l'arbuste , 1 Eiprestion... | |
| Montréal. Petit séminaire - 1840 - 228 oldal
...défendrais de Vorage: Je Qu'il ya de plaisir à se donner *oi-inême pour quelqu'un qui protège ! Alais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. Ce tour est poétique, et même de la haute poésie ; ce irai ne mcssied pas dans la bouche du Chêne.... | |
| Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1840 - 718 oldal
...je couvre le voisinage , Vous n'auriez pas taut à souffrir , Je vous défendrais de l'orage ; Mail vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. Le poete s'est exprimé en naturaliste en donnant au vent plusieurs royaumes; et il n'ya pas de doute... | |
| Jean de La Fontaine - 1841 - 424 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
| Jean de La Fontaine - 1841 - 400 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un... | |
| Charles Jean Delille - 1841 - 474 oldal
...Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste." " Votre compassion," lui répondit l'arbuste, " Part... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 oldal
...feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir; Je vous défendrais de l'orage; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, - Part d'un... | |
| E F C. Ritter - 1844 - 236 oldal
...naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez point tant à souffrir ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste. Part d'un... | |
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