 | Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 oldal
...•les yeux de tous îeurs habitans. IFs furent quelque temps saisis, muets, immobiles. Un effort dfc douleur rompant enfin ce long et morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots, que formoîent dans leurs cœurs la tristesse, l'a piété; la crainte, ils l'écrièrcnt: Comment est... | |
 | Jean François de La Harpe - 1821 - 568 oldal
...dans son triomphe. Au premier « bruit de ce funeste accident , toutes les villes de « Judée furent émues ; des ruisseaux de larmes «coulèrent des...long et « morne silence , d'une voix entrecoupée de san« glots que formaient dans leurs cœurs la tristesse, « la pitié, la crainte, ils s'écrièrent... | |
 | 1821 - 434 oldal
...villes de Judée furent émues ; des ruisseaux de larmes coulèrent des yeux de tous leurs habitans. Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles. Un effort de douleur rompant enfin ce morne et long silence, d'une voix ^entrecoupée de snnglots. que formaient dans leurs cœurs la tristesse,... | |
 | Louis Domairon - 1822 - 466 oldal
...de Judée furent émues. Des ruis» seaux de larmes coulèrent des yeux de ». tous leurs habitans .-ils furent quelque > temps saisis , muets , immobiles....rompant enfin ce » long et morne silence , d'une voix en» frecoupée que formaient dans leurs » cœurs la tristesse , la piété , la crainte, » ils s'écrièrent... | |
 | Dubroca - 1824 - 602 oldal
...coulèrent des yeux de tous les habitans; | ils furent quelque temps saisis [ muets [ immobiles : j un effort de douleur | rompant enfin [ ce long et...silence | d'une voix entrecoupée de sanglots ] que formaient dans leurscœursj la tristesse | lapitiéj la crainte j ils s'écrièrent : Comment est mort... | |
 | Jean François Marmontel - 1825 - 596 oldal
...toutes les villes de la Judée furent émues , des ruisseaux de larmes coulèrent de tous les yeux des habitants ; ils furent quelque temps saisis , muets...silence, d'une voix entrecoupée de sanglots , que formaient dans leurs cœurs la tristesse , la piété , la crainte, ils s'écrièrent : Comment est... | |
 | Valentin Esprit Fléchier (bp. of Nîmes.) - 1825 - 342 oldal
...larmes coulèrent des yeux de tous leurs habitans. Ils furent quelque temps saisis, muets, iramobileg. Un effort de douleur rompant enfin ce long et morne silence , d'une vois entre.s coupée de sanglots , que formaient dans' Iturs cœurs la tristesse , la pitié , la crainte,... | |
 | Esprit Fléchier - 1826 - 510 oldal
...enseveli dans son triomphe 2 . Au premier bruit de ce funeste accident, toutes les villes de Judée furent émues, des ruisseaux de larmes coulèrent des yeux...morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots que formoient dans leurs cœurs la tristesse, la pitié, la crainte, ils s'écrièrent: « Com« ment est... | |
 | Esprit Fléchier - 1828 - 470 oldal
...villes de Judée furent émues ; des ruisseaux de larmes coulèrent des yeux de tous leurs habitans. Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles....morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots que formulent dans leurs cœurs la tristesse, la pitié, la crainte, ils s'écrièrent : Comment est mort... | |
 | Esprit Fléchier - 1828 - 972 oldal
...villes de Judée furent émues ; des ruisseaux de larmes coulèrent des yeux de tous leurs habitans. Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles....morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots que formoient dans leurs cœurs la tristesse , la pitié , la crainte , ils s'écrièrent : Comment est... | |
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... triomphe. Au premier bruit de ce funeste accident, toutes les villes de Judée furent émues, des ruisseaux de larmes coulèrent des yeux de tous leurs habitants ; ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles. 
