Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne, 7. kötet

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F. Didot, imprimeur du roi et de l'Institut, 1821

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157. oldal - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
271. oldal - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons...
153. oldal - Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau. Je ne songerai plus que rencontre funeste, Que faucons, que réseaux. Hélas ! dirai-je, il pleut : Mon frère at-il tout ce qu'il veut, Bon souper, bon gîte, et le reste ? » Ce discours ébranla le cœur De notre imprudent voyageur : Mais le désir de voir et l'humeur inquiète L'emportèrent enfin.
170. oldal - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles. Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire. J'irais plus haut peut-être au temple de Mémoire Si dans un genre seul j'avais usé mes jours. Mais quoi! je suis volage en vers comme en amours.
468. oldal - Les vertus se perdent dans l'intérêt, comme les fleuves se perdent dans la mer.
163. oldal - Perrette , sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet , Prétendait arriver sans encombre ' à la ville. Légère et court vêtue , elle allait à grands pas , Ayant mis ce jour-là , pour être plus agile , Cotillon simple et souliers plats.
291. oldal - ... fragiles images d'une douleur que le temps emporte avec tout le reste; des colonnes qui semblent vouloir porter jusqu'au ciel le magnifique témoignage de notre néant; et rien enfin ne manque dans tous ces honneurs que celui à qui on les rend.
160. oldal - Encor, si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
41. oldal - L'air, ni l'esprit français à l'antique Italie ; Et, sous des noms romains faisant notre portrait, Peindre Caton galant et Brutus dameret.
146. oldal - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.

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