Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,1. rész,1. kiadásLarousse, 1850 |
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32. oldal
... Par les dieux et les rois Élysée embelli , A ton aspect , dans ma pensée , Comme sur l'herbe aride une fraîche rosée , Coule un peu de calme et d'oubli . Paris me semble un autre empire , Dès que chez 32 1819 - ANDRÉ CHÉNIER.
... Par les dieux et les rois Élysée embelli , A ton aspect , dans ma pensée , Comme sur l'herbe aride une fraîche rosée , Coule un peu de calme et d'oubli . Paris me semble un autre empire , Dès que chez 32 1819 - ANDRÉ CHÉNIER.
65. oldal
... pensée Dans la mienne s'est retracée , Et sa parole m'a connu ; Et j'ai monté devant sa face , Et la nature m'a dit : « Passe : Ton sort est sublime , il t'a vu ! » Vivez donc vos jours sans mesure , Terre et ciel , céleste flambeau ...
... pensée Dans la mienne s'est retracée , Et sa parole m'a connu ; Et j'ai monté devant sa face , Et la nature m'a dit : « Passe : Ton sort est sublime , il t'a vu ! » Vivez donc vos jours sans mesure , Terre et ciel , céleste flambeau ...
74. oldal
... pensées . Certes , plus d'un vieillard sans flamme et sans cheveux , Tombé de lassitude au bout de tous ses vœux , Pâlirait , s'il voyait , comme un gouffre dans l'onde , Mon âme où ma pensée habite comme un monde , Tout ce que j'ai ...
... pensées . Certes , plus d'un vieillard sans flamme et sans cheveux , Tombé de lassitude au bout de tous ses vœux , Pâlirait , s'il voyait , comme un gouffre dans l'onde , Mon âme où ma pensée habite comme un monde , Tout ce que j'ai ...
88. oldal
... pensée Du trône du monde perdu ! Tous deux sont morts . - V Seigneur , votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible , Par l'homme triomphant , Puis vous avez enfin complété l'ossuaire . Dix ans vous ont suffi ...
... pensée Du trône du monde perdu ! Tous deux sont morts . - V Seigneur , votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible , Par l'homme triomphant , Puis vous avez enfin complété l'ossuaire . Dix ans vous ont suffi ...
92. oldal
... pensée , Il s'assoit à l'écart , les yeux sur l'horizon , Et regardant s'enfuir sa moisson consumée , Dans les noirs tourbillons de l'épaisse fumée , L'ivresse du malheur emporte sa raison . LAMARTINE ( Voir pages 39 , 47 et 62 ...
... pensée , Il s'assoit à l'écart , les yeux sur l'horizon , Et regardant s'enfuir sa moisson consumée , Dans les noirs tourbillons de l'épaisse fumée , L'ivresse du malheur emporte sa raison . LAMARTINE ( Voir pages 39 , 47 et 62 ...
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40. oldal - Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent : Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : ' Sois plus lente ' ; et l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point...
56. oldal - Les vierges se voilaient et craignaient de mourir. M'enveloppant alors de la colonne noire, J'ai marché devant tous, triste et seul dans ma gloire, Et j'ai dit dans mon cœur :
40. oldal - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
8. oldal - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux, ces jours De France ! O mon pays ! sois mes amours ! Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux. Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du More, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
41. oldal - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
90. oldal - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie a» En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux.
88. oldal - D'un bel enfant qui dort la bouche demi-close, Gracieux comme l'orient, Tandis qu'avec amour sa nourrice enchantée D'une goutte de lait au bout du sein restée Agace sa lèvre en riant. Le père alors posait ses coudes sur sa chaise, Son cœur plein de sanglots se dégonflait à l'aise, II pleurait, d'amour éperdu!... — Sois béni, pauvre enfant, tête aujourd'hui glacée, Seul être qui pouvais distraire sa pensée Du trône du monde perdu ! V Tous deux sont morts.
124. oldal - Troubler le flot sacré qu'ont touché tes pieds nus! « Quoi donc! C'est vainement qu'ici nous nous aimâmes! Rien ne nous restera de ces coteaux fleuris Où nous fondions notre être en y mêlant nos flammes! L'impassible nature a déjà tout repris.
39. oldal - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
14. oldal - Et j'ai vu comme une ombre vaine " S'évanouir mon beau printemps. " Tombe, tombe, feuille éphémère ! " Voile aux yeux ce triste chemin ; " Cache au désespoir de ma mère " La place où je serai demain. " Mais, vers la solitaire allée, " Si mon amante échevelée " Venait pleurer quand le jour fuit, " Éveille par ton léger bruit " Mon ombre un instant consolée.