Œuvres, 5. kötet |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 85 találatból.
9. oldal
... nations de l'Europe , où étoit le centre des deux puissances , que dans les autres par- ties du monde , dont les divers peuples , trop épars pour se correspondre , n'ont de plus aucun point de réunion . Joignez à cela la situation ...
... nations de l'Europe , où étoit le centre des deux puissances , que dans les autres par- ties du monde , dont les divers peuples , trop épars pour se correspondre , n'ont de plus aucun point de réunion . Joignez à cela la situation ...
13. oldal
... nations qui l'ha- bitent , semble avoir décidé du nombre et de la gran- deur de ces nations ; et l'on peut dire que l'ordre litique de cette partie du monde est , à certains égards , l'ouvrage de la nature . po- En effet , ne pensons ...
... nations qui l'ha- bitent , semble avoir décidé du nombre et de la gran- deur de ces nations ; et l'on peut dire que l'ordre litique de cette partie du monde est , à certains égards , l'ouvrage de la nature . po- En effet , ne pensons ...
44. oldal
... nation ; móts à jamais pros- crits du cabinet , et si lourdement employés dans les édits publics , qu'ils n'annoncent jamais que des ordres funestes , et que le peuple gémit d'avance quand ses maîtres lui parlent de leurs soins ...
... nation ; móts à jamais pros- crits du cabinet , et si lourdement employés dans les édits publics , qu'ils n'annoncent jamais que des ordres funestes , et que le peuple gémit d'avance quand ses maîtres lui parlent de leurs soins ...
70. oldal
... nation assemblée en corps , de même les premières délibérations du prince furent faites avec les principaux de la nation assemblés en conseil . Le prince a des conseillers avant que d'avoir des visirs ; il trouve les uns , et fait les ...
... nation assemblée en corps , de même les premières délibérations du prince furent faites avec les principaux de la nation assemblés en conseil . Le prince a des conseillers avant que d'avoir des visirs ; il trouve les uns , et fait les ...
72. oldal
... nation , et qu'ils ne préférassent volontiers les premiers aux autres en opinant . Mais , dans une assemblée dont tous les membres sont clair- voyants et n'ont pas les mêmes intérêts , chacun en- treprendroit vainement d'amener les ...
... nation , et qu'ils ne préférassent volontiers les premiers aux autres en opinant . Mais , dans une assemblée dont tous les membres sont clair- voyants et n'ont pas les mêmes intérêts , chacun en- treprendroit vainement d'amener les ...
Gyakori szavak és kifejezések
abus acte affaires aisément ames assemblées auront avantages avoient avoit besoin centuries CHAP CHAPITRE chefs choses citoyens civil comices confédération conseil conserver constitution Contrat social corps politique diéte diétines dire doit donner élections éphores établi état étoient étoit faudroit foible force Grotius guerre Henri IV hommes institution j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'autre l'état l'Europe l'intérêt laisser législation liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière marquis d'Argenson maximes membres ment mieux mœurs monarchie moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome s'il sage sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets système tion toyens tribunat tribus troupes visirat Voilà volonté générale voudrois
Népszerű szakaszok
113. oldal - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
129. oldal - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social , de sa puissance , de ses biens , de sa liberté , c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
266. oldal - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
123. oldal - Si donc le peuple promet simplement d'obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple ; à l'instant qu'il ya un maître , il n'ya plus de souverain , et dès lors le corps politique est détruit.
161. oldal - ... parce que cette puissance ne consiste qu'en des actes particuliers qui ne sont point du ressort de la loi , ni par conséquent de celui du souverain , dont tous les actes ne peuvent être que des lois.
114. oldal - A l'égard des associés ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens comme participants à l'autorité souveraine, et sujets comme soumis aux lois de l'État.
115. oldal - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
183. oldal - ... ceux qui parviennent dans les monarchies ne sont le plus souvent que de petits brouillons, de petits fripons , de petits intrigants , à qui les petits talents , qui font dans les cours parvenir aux grandes places, ne servent qu'à montrer au public leur ineptie aussitôt qu'ils y sont parvenus.
118. oldal - Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu'elle se forme , tel qu'il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie.
265. oldal - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.