Œuvres, 5. kötet |
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161. oldal
... magistrats ou rois , c'est - à - dire , gouverneurs ; et le corps entier porte le nom de prince1 . Ainsi ceux qui prétendent que l'acte par lequel un peuple se soumet à des chefs n'est point un contrat ont grande raison . Ce n'est ...
... magistrats ou rois , c'est - à - dire , gouverneurs ; et le corps entier porte le nom de prince1 . Ainsi ceux qui prétendent que l'acte par lequel un peuple se soumet à des chefs n'est point un contrat ont grande raison . Ce n'est ...
167. oldal
... magistrats . Or , la force totale du gouvernement , étant toujours celle de l'état , ne varie point : d'où il suit que plus il use de cette force sur ses propres membres , moins il lui en reste pour agir sur tout le peuple . 1 Donc ...
... magistrats . Or , la force totale du gouvernement , étant toujours celle de l'état , ne varie point : d'où il suit que plus il use de cette force sur ses propres membres , moins il lui en reste pour agir sur tout le peuple . 1 Donc ...
168. oldal
... magistrats , qui se rapporte uni- quement à l'avantage du prince , et qu'on peut appeler volonté de corps , laquelle est générale part rapport au gouvernement , et particulière par rapport à l'état , dont le gouvernement fait partie ...
... magistrats , qui se rapporte uni- quement à l'avantage du prince , et qu'on peut appeler volonté de corps , laquelle est générale part rapport au gouvernement , et particulière par rapport à l'état , dont le gouvernement fait partie ...
169. oldal
... magistrats : alors la volon- té de corps , confondue avec la volonté générale , n'aura pas plus d'activité qu'elle , et laissera la vo- lonté particulière dans toute sa force . Ainsi , le gou- vernement , toujours avec la même force ...
... magistrats : alors la volon- té de corps , confondue avec la volonté générale , n'aura pas plus d'activité qu'elle , et laissera la vo- lonté particulière dans toute sa force . Ainsi , le gou- vernement , toujours avec la même force ...
170. oldal
... magistrats au gouvernement doit être inverse du rapport des sujets au souverain ; c'est- à - dire que , plus l'état ... magistrat est nombreux , plus la volonté de corps se rapproche de la volonté générale ; au lieu que , sous un ...
... magistrats au gouvernement doit être inverse du rapport des sujets au souverain ; c'est- à - dire que , plus l'état ... magistrat est nombreux , plus la volonté de corps se rapproche de la volonté générale ; au lieu que , sous un ...
Gyakori szavak és kifejezések
abus acte affaires aisément ames assemblées auront avantages avoient avoit besoin centuries CHAP CHAPITRE chefs choses citoyens civil comices confédération conseil conserver constitution Contrat social corps politique diéte diétines dire doit donner élections éphores établi état étoient étoit faudroit foible force Grotius guerre Henri IV hommes institution j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'autre l'état l'Europe l'intérêt laisser législation liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière marquis d'Argenson maximes membres ment mieux mœurs monarchie moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome s'il sage sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets système tion toyens tribunat tribus troupes visirat Voilà volonté générale voudrois
Népszerű szakaszok
113. oldal - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
129. oldal - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social , de sa puissance , de ses biens , de sa liberté , c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
266. oldal - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
123. oldal - Si donc le peuple promet simplement d'obéir, il se dissout par cet acte, il perd sa qualité de peuple ; à l'instant qu'il ya un maître , il n'ya plus de souverain , et dès lors le corps politique est détruit.
161. oldal - ... parce que cette puissance ne consiste qu'en des actes particuliers qui ne sont point du ressort de la loi , ni par conséquent de celui du souverain , dont tous les actes ne peuvent être que des lois.
114. oldal - A l'égard des associés ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens comme participants à l'autorité souveraine, et sujets comme soumis aux lois de l'État.
115. oldal - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
183. oldal - ... ceux qui parviennent dans les monarchies ne sont le plus souvent que de petits brouillons, de petits fripons , de petits intrigants , à qui les petits talents , qui font dans les cours parvenir aux grandes places, ne servent qu'à montrer au public leur ineptie aussitôt qu'ils y sont parvenus.
118. oldal - Chaque membre de la communauté se donne à elle au moment qu'elle se forme , tel qu'il se trouve actuellement, lui et toutes ses forces, dont les biens qu'il possède font partie.
265. oldal - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.