Principes de la littérature, 4. kötet

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A. #, 1802
 

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177. oldal - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses...
170. oldal - Turenne meurt: tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne, les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance ; tout le camp demeure immobile.
83. oldal - Une Grenouille vit un bœuf Qui lui sembla de belle taille. Elle qui n'était pas grosse en tout comme un œuf, Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille Pour égaler l'animal en grosseur, Disant : Regardez bien, ma sœur ; Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ? - Nenni. - M'y voici donc ?- Point du tout. -M'y voilà ? - Vous n'en approchez point.
38. oldal - Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout Paris en foule apporte ses suffrages, Et qui, toujours plus beaux, plus ils sont regardés, Soient au bout de vingt ans encor redemandés ? Que dans tous vos discours la passion émue Aille chercher le cœur, l'échauffé et le remue.
180. oldal - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable , hypocrite raffiné autant qu'habile politique , capable de tout entreprendre et de tout cacher , également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre...
249. oldal - De sa puissance immortelle Tout parle, tout nous instruit ; Le jour au jour la révèle, La nuit l'annonce à la nuit. Ce grand et superbe ouvrage N'est point pour l'homme un langage Obscur et mystérieux. Son admirable structure Est la voix de la nature, Qui se fait entendre aux yeux.
169. oldal - N'attendez pas, messieurs, que j'ouvre ici une scène tragique, que je représente ce grand homme étendu sur ses propres trophées, que je découvre ce corps pâle et sanglant auprès duquel fume encore la foudre qui l'a frappé...
133. oldal - Samarie, après avoir brûlé sur leurs propres autels les dieux des nations étrangères ; cet homme que Dieu avait mis autour d'Israël, comme un mur d'airain, où se brisèrent tant de fois toutes les forces de l'Asie, et qui, après avoir défait de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles...
41. oldal - Le ciel à les former se prépare longtemps. Tel fut cet empereur • sous qui Rome adorée Vit renaître les jours de Saturne et de Rhée ; Qui rendit de son joug l'univers amoureux ; Qu'on n'alla jamais voir sans revenir heureux ; Qui soupirait le soir, si sa main fortunée N'avait par ses bienfaits signalé la journée.
72. oldal - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait vœu d'écrire. Toutefois, s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et, pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis, Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis, Puisque vous le voulez, je vais changer de style.

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