Oeuvres complètes de Voltaire, 1. kötet,1. rész

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chez Th. Desoer, 1817
 

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413. oldal - En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
399. oldal - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
25. oldal - Bientôt l'amour, fertile en tendres sentiments, S'empara du théâtre ainsi que des romans. De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
183. oldal - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
301. oldal - Qu'il coure dans ses vers de merveille en merveille, Et que tout ce qu'il dit, facile à retenir, De son ouvrage en nous laisse un long souvenir.
185. oldal - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : .ii nos juge aux enfers tous les pâles humains.
80. oldal - L'humanité avait perdu ses titres, Montesquieu les a retrouvés et les lui a rendus...
299. oldal - Frappez, ne l'épargnez pas; elle n'a pas épargné notre père. » Prométhée est attaché sur un rocher avec des clous qu'on lui enfonce dans l'estomac et dans les bras. Les furies répondent à l'ombre sanglante de Clytemnestre par des hurlements sans aucune articulation.
242. oldal - Assez et trop long-temps , d'une bouche profane, Je méprisai l'amour et j'adorai Diane. Solitaire, farouche, on me voyait toujours Chasser dans nos forêts les lions et les ours. Mais un soin plus pressant m'occupe et m'embarrasse. Depuis que je vous vois j'abandonne la chasse; Elle fit autrefois mes plaisirs les plus doux, Et quand j'y vais , ce n'est que pour penser à vous.
242. oldal - Harpagon et le roi de Pont sont deux vieillards amoureux : l'un et l'autre ont leur fils pour rival; l'un et l'autre se servent du même artifice pour découvrir l'intelligence qui est entre leur fils et leur maîtresse ; et les deux pièces finissent par le mariage du jeune homme.

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