Lycée; ou, Cours de littérature ancienne et moderne: no. 1-2. Dix-huitième siècle; PoésieVerdière, 1817 |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 100 találatból.
4. oldal
... poëte , toujours trop pressé de produire pour sentir la nécessité de réfléchir . De là ces premières ébauches des maîtres , qui sont proprement des études de peintre , comme la Médée de Corneille , la Thébaïde et l'Alexandre de Racine ...
... poëte , toujours trop pressé de produire pour sentir la nécessité de réfléchir . De là ces premières ébauches des maîtres , qui sont proprement des études de peintre , comme la Médée de Corneille , la Thébaïde et l'Alexandre de Racine ...
5. oldal
... poëte , c'est qu'il rend , autant qu'il est possible , ce qu'il avait ôté à son héros , la première place dans notre attention et dans l'ouvrage , en fixant nos yeux sur les événemens que raconte Henri , et qui ne sont autre chose que ...
... poëte , c'est qu'il rend , autant qu'il est possible , ce qu'il avait ôté à son héros , la première place dans notre attention et dans l'ouvrage , en fixant nos yeux sur les événemens que raconte Henri , et qui ne sont autre chose que ...
10. oldal
... poëte français n'avait eu avant Voltaire . Ils pensent que , quoique son style n'ait pas la richesse poétique de Virgile , quoique sa tête ait été beaucoup moins épique que tragique , la versification de la Henriade en a fait un des ...
... poëte français n'avait eu avant Voltaire . Ils pensent que , quoique son style n'ait pas la richesse poétique de Virgile , quoique sa tête ait été beaucoup moins épique que tragique , la versification de la Henriade en a fait un des ...
16. oldal
... poëte quand il me peint : Ces faubourgs aujourd'hui si pompeux et si grands , Que la main de la paix tient ouverts en tout temps , D'une immense cité superbes avenues , etc. Je le reconnais dans ces vers sur les bombes : Le salpêtre ...
... poëte quand il me peint : Ces faubourgs aujourd'hui si pompeux et si grands , Que la main de la paix tient ouverts en tout temps , D'une immense cité superbes avenues , etc. Je le reconnais dans ces vers sur les bombes : Le salpêtre ...
19. oldal
... poëte dit dés assié- geans , qui tour à tour sont maîtres des remparts et en sont repoussés : Pareils à l'Océan poussé par les orages , Qui couvre à chaque instant et qui fuit ses rivages . Le critique passe sous silence cette ...
... poëte dit dés assié- geans , qui tour à tour sont maîtres des remparts et en sont repoussés : Pareils à l'Océan poussé par les orages , Qui couvre à chaque instant et qui fuit ses rivages . Le critique passe sous silence cette ...
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
affreux aime Alzire amant âme amour assez Atrée beau beautés Brutus caractère Catilina César chose Cicéron ciel Clytemnestre cœur Coucy Crébillon crime critique cruel d'Atrée d'Oreste dénoûment Dieu dieux dire doit dramatique Egisthe Electre enfans ennemis époux eût fille fils force frère fureur gloire goût Gusman hémistiche Henriade héros heureux homme idées j'ai jamais Jocaste jour l'amour l'art l'auteur long-temps Mahomet main malheureux Mariamne mérite Mérope Messène mieux montre morceau mort n'en Nérestan Oreste Orosmane ouvrage Palamède parle passion père personnages peuple Pharasmane pièce pitié pleurs Plysthène poëme poésie poëte Polyphonte premier acte prince qu'un quatrième acte Racine raison reste Rhadamiste rien rois rôle Romains Rome Roucher s'il sang sauver scène Sémiramis sénat sentimens sentiment serait seul situation Sophocle sort Spartacus spectateur style sujet talent Tancrède théâtre Thyeste Titus tragédie tragique tremble Tydée tyran Vendôme vengeance venger vérité versification vertu veut Voltaire vrai yeux Zaïre Zamore Zamti Zopire
Népszerű szakaszok
26. oldal - Belle Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule, au sein furieux d'Amphitrite étonnée, Un cristal toujours pur et des flots toujours clairs, Que jamais ne corrompt l'amertume des mers.
393. oldal - Que le trouble, toujours croissant de scène en scène, A son comble arrivé se débrouille sans peine. L'esprit ne se sent point plus vivement frappé Que lorsqu'en un sujet d'intrigue enveloppé D'un secret tout à coup la vérité connue Change tout, donne à tout une face imprévue.
237. oldal - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de...
348. oldal - J'en atteste le ciel ; il sait mon innocence. Aux bords de la Pamise, en un temple sacré, Où l'un de vos aïeux, Hercule, est adoré, J'osais prier pour vous ce dieu vengeur des crimes : Je ne pouvais offrir ni présents ni victimes; Né dans la pauvreté, j'offrais de simples vœux, Un cœur pur et soumis, présent des malheureux.
237. oldal - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines! C'est le sang de vingt rois , tous chrétiens comme moi ; C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs....
237. oldal - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
351. oldal - J'ai de mes jeunes ans dérobé les secours : C'est ma première faute; elle a troublé mes jours-* • Le Ciel m'en a puni ; le Ciel inexorable M'a conduit dans le piège et m'a rendu coupable. MÉROPE. Il ne l'est point; j'en crois son ingénuité : Le mensonge n'a point cette simplicité.
361. oldal - S'il reste un rejeton de la race d'Alcide, Si ce fils tant pleuré dans Messène est produit, De quinze ans de travaux j'ai perdu tout le fruit. Crois-moi, ces préjugés de sang et de naissance Revivront dans les cœurs, y prendront sa défense.
537. oldal - Faut-il, pour t'en presser, embrasser tes genoux ? Songe au prix de quel sang je devins ton époux. Jusques à mon amour, tout veut que je périsse. Laisser le crime en paix, c'est s'en rendre complice. Frappe ; mais souviens-toi que, malgré ma fureur, Tu ne sortis jamais un moment de mon cœur...
447. oldal - Romains, j'aime la gloire , et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.