Lycée; ou, Cours de littérature ancienne et moderne: no. 1-2. Dix-huitième siècle; PoésieVerdière, 1817 |
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... hommes dont à peine ils avaient entendu parler ; et l'on eût dit que l'aspect de toute cette pompe littéraire , de tout ce ... homme ignorant et pervers contre tout ce qui vaut mieux que lui . Ils n'osaient pas encore avouer tout haut le ...
... hommes dont à peine ils avaient entendu parler ; et l'on eût dit que l'aspect de toute cette pompe littéraire , de tout ce ... homme ignorant et pervers contre tout ce qui vaut mieux que lui . Ils n'osaient pas encore avouer tout haut le ...
iii. oldal
... hommes dont on ne peut parler sans souiller la parole , comme ils ont souillé la nature ; et je voudrais que notre ... homme public , et j'ai cru devoir rendre serva l'assemblée beaucoup plus que l'auteur , et je voyais que , malgré la ...
... hommes dont on ne peut parler sans souiller la parole , comme ils ont souillé la nature ; et je voudrais que notre ... homme public , et j'ai cru devoir rendre serva l'assemblée beaucoup plus que l'auteur , et je voyais que , malgré la ...
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... hommes et des crimes ; une voix qui serre le cœur , qui glace les veines , qui déchire les fibres , qui torture l'âme ; une voix qui crie incessamment vengeance au ciel , au monde , aux races futures , et laisse dans le cœur de l'homme ...
... hommes et des crimes ; une voix qui serre le cœur , qui glace les veines , qui déchire les fibres , qui torture l'âme ; une voix qui crie incessamment vengeance au ciel , au monde , aux races futures , et laisse dans le cœur de l'homme ...
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... homme , dont elle est le premier garant . Mais il faut observer que la tyran- nie , qui , profitant de l'ignorance ... hommes . Aucun tyran n'a été d'ailleurs assez stupide pour ignorer l'irrésistible empire qu'exercent ces arts , et ...
... homme , dont elle est le premier garant . Mais il faut observer que la tyran- nie , qui , profitant de l'ignorance ... hommes . Aucun tyran n'a été d'ailleurs assez stupide pour ignorer l'irrésistible empire qu'exercent ces arts , et ...
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... hommes obligés de calculer sans cesse leur existence pro- bable , non pas par des années , des mois , des jours , nais ... homme peut se faire entendre , si on Jui laisse le temps de mettre ensemble deux idées raisonnables , s'il a le ...
... hommes obligés de calculer sans cesse leur existence pro- bable , non pas par des années , des mois , des jours , nais ... homme peut se faire entendre , si on Jui laisse le temps de mettre ensemble deux idées raisonnables , s'il a le ...
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26. oldal - Belle Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule, au sein furieux d'Amphitrite étonnée, Un cristal toujours pur et des flots toujours clairs, Que jamais ne corrompt l'amertume des mers.
393. oldal - Que le trouble, toujours croissant de scène en scène, A son comble arrivé se débrouille sans peine. L'esprit ne se sent point plus vivement frappé Que lorsqu'en un sujet d'intrigue enveloppé D'un secret tout à coup la vérité connue Change tout, donne à tout une face imprévue.
237. oldal - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de...
348. oldal - J'en atteste le ciel ; il sait mon innocence. Aux bords de la Pamise, en un temple sacré, Où l'un de vos aïeux, Hercule, est adoré, J'osais prier pour vous ce dieu vengeur des crimes : Je ne pouvais offrir ni présents ni victimes; Né dans la pauvreté, j'offrais de simples vœux, Un cœur pur et soumis, présent des malheureux.
237. oldal - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines! C'est le sang de vingt rois , tous chrétiens comme moi ; C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs....
237. oldal - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
351. oldal - J'ai de mes jeunes ans dérobé les secours : C'est ma première faute; elle a troublé mes jours-* • Le Ciel m'en a puni ; le Ciel inexorable M'a conduit dans le piège et m'a rendu coupable. MÉROPE. Il ne l'est point; j'en crois son ingénuité : Le mensonge n'a point cette simplicité.
361. oldal - S'il reste un rejeton de la race d'Alcide, Si ce fils tant pleuré dans Messène est produit, De quinze ans de travaux j'ai perdu tout le fruit. Crois-moi, ces préjugés de sang et de naissance Revivront dans les cœurs, y prendront sa défense.
537. oldal - Faut-il, pour t'en presser, embrasser tes genoux ? Songe au prix de quel sang je devins ton époux. Jusques à mon amour, tout veut que je périsse. Laisser le crime en paix, c'est s'en rendre complice. Frappe ; mais souviens-toi que, malgré ma fureur, Tu ne sortis jamais un moment de mon cœur...
447. oldal - Romains, j'aime la gloire , et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.