Lycée; ou, Cours de littérature ancienne et moderne: no. 1-2. Dix-huitième siècle; PoésieVerdière, 1817 |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 100 találatból.
viii. oldal
... assez que le despotisme est par lui - même ennemi de la liberté de penser , puisqu'il l'est des droits naturels de l'homme , dont elle est le premier garant . Mais il faut observer que la tyran- nie , qui , profitant de l'ignorance de ...
... assez que le despotisme est par lui - même ennemi de la liberté de penser , puisqu'il l'est des droits naturels de l'homme , dont elle est le premier garant . Mais il faut observer que la tyran- nie , qui , profitant de l'ignorance de ...
ix. oldal
... assez d'habileté pour le tourner à leur profit . Sous Tibère , un Romain fut accusé capitalement pour avoir écrit que Brutus et Cassius étaient les derniers des Ro- mains . Domitien bannit de Rome les mathématiciens , parce qu'ils ...
... assez d'habileté pour le tourner à leur profit . Sous Tibère , un Romain fut accusé capitalement pour avoir écrit que Brutus et Cassius étaient les derniers des Ro- mains . Domitien bannit de Rome les mathématiciens , parce qu'ils ...
xi. oldal
... assez fou pour vouloir publier un écrit raisonné n'eût pas trouvé des mains pour l'imprimer , ni même d'oreilles pour l'entendre ; et chacun semblait craindre que sa pensée même fat entendue : combien plus qu'elle restât sur le papier ...
... assez fou pour vouloir publier un écrit raisonné n'eût pas trouvé des mains pour l'imprimer , ni même d'oreilles pour l'entendre ; et chacun semblait craindre que sa pensée même fat entendue : combien plus qu'elle restât sur le papier ...
xii. oldal
... assez clairement ce projet qui semble incompréhen- sible , mais qui était réel , d'avilir tout ce qu'on ne pouvait dé- truire , et de détruire tout ce qu'on ne pouvait avilir ? C'est là le véritable phénomène que la dernière postérité ...
... assez clairement ce projet qui semble incompréhen- sible , mais qui était réel , d'avilir tout ce qu'on ne pouvait dé- truire , et de détruire tout ce qu'on ne pouvait avilir ? C'est là le véritable phénomène que la dernière postérité ...
xiii. oldal
... assez pour le moment . La Montagne et les Jacobins firent entendre des rugissemens . Ils sont sensibles ces Messieurs ! s'écriaient - ils avec l'accent d une ironie et d'une rage in- fernales ; ils sont sensibles ! Et les membres en ...
... assez pour le moment . La Montagne et les Jacobins firent entendre des rugissemens . Ils sont sensibles ces Messieurs ! s'écriaient - ils avec l'accent d une ironie et d'une rage in- fernales ; ils sont sensibles ! Et les membres en ...
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
affreux aime Alzire amant âme amour assez Atrée beau beautés Brutus caractère Catilina César chose Cicéron ciel Clytemnestre cœur Coucy Crébillon crime critique cruel d'Atrée d'Oreste dénoûment Dieu dieux dire doit dramatique Egisthe Electre enfans ennemis époux eût fille fils force frère fureur gloire goût Gusman hémistiche Henriade héros heureux homme idées j'ai jamais Jocaste jour l'amour l'art l'auteur long-temps Mahomet main malheureux Mariamne mérite Mérope Messène mieux montre morceau mort n'en Nérestan Oreste Orosmane ouvrage Palamède parle passion père personnages peuple Pharasmane pièce pitié pleurs Plysthène poëme poésie poëte Polyphonte premier acte prince qu'un quatrième acte Racine raison reste Rhadamiste rien rois rôle Romains Rome Roucher s'il sang sauver scène Sémiramis sénat sentimens sentiment serait seul situation Sophocle sort Spartacus spectateur style sujet talent Tancrède théâtre Thyeste Titus tragédie tragique tremble Tydée tyran Vendôme vengeance venger vérité versification vertu veut Voltaire vrai yeux Zaïre Zamore Zamti Zopire
Népszerű szakaszok
26. oldal - Belle Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule, au sein furieux d'Amphitrite étonnée, Un cristal toujours pur et des flots toujours clairs, Que jamais ne corrompt l'amertume des mers.
393. oldal - Que le trouble, toujours croissant de scène en scène, A son comble arrivé se débrouille sans peine. L'esprit ne se sent point plus vivement frappé Que lorsqu'en un sujet d'intrigue enveloppé D'un secret tout à coup la vérité connue Change tout, donne à tout une face imprévue.
237. oldal - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de...
348. oldal - J'en atteste le ciel ; il sait mon innocence. Aux bords de la Pamise, en un temple sacré, Où l'un de vos aïeux, Hercule, est adoré, J'osais prier pour vous ce dieu vengeur des crimes : Je ne pouvais offrir ni présents ni victimes; Né dans la pauvreté, j'offrais de simples vœux, Un cœur pur et soumis, présent des malheureux.
237. oldal - Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines! C'est le sang de vingt rois , tous chrétiens comme moi ; C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs....
237. oldal - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
351. oldal - J'ai de mes jeunes ans dérobé les secours : C'est ma première faute; elle a troublé mes jours-* • Le Ciel m'en a puni ; le Ciel inexorable M'a conduit dans le piège et m'a rendu coupable. MÉROPE. Il ne l'est point; j'en crois son ingénuité : Le mensonge n'a point cette simplicité.
361. oldal - S'il reste un rejeton de la race d'Alcide, Si ce fils tant pleuré dans Messène est produit, De quinze ans de travaux j'ai perdu tout le fruit. Crois-moi, ces préjugés de sang et de naissance Revivront dans les cœurs, y prendront sa défense.
537. oldal - Faut-il, pour t'en presser, embrasser tes genoux ? Songe au prix de quel sang je devins ton époux. Jusques à mon amour, tout veut que je périsse. Laisser le crime en paix, c'est s'en rendre complice. Frappe ; mais souviens-toi que, malgré ma fureur, Tu ne sortis jamais un moment de mon cœur...
447. oldal - Romains, j'aime la gloire , et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.