Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, 5. kötetLefèvre, 1819 |
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... en a fait trop ou trop peu pour notre bonheur ; que chacun de nous étant dans l'état civil avec ses concitoyens , et dans l'état de nature avec tout le reste du monde , nous n'avons prévenu les guerres particulières 4 PROJET.
... en a fait trop ou trop peu pour notre bonheur ; que chacun de nous étant dans l'état civil avec ses concitoyens , et dans l'état de nature avec tout le reste du monde , nous n'avons prévenu les guerres particulières 4 PROJET.
92. oldal
... civil ont , dans les monarchies , des prin- cipes si différens et des règles si contraires , qu'il est presque impossible d'allier les deux administrations , et qu'en général les membres des tribunaux sont peu propres pour les conseils ...
... civil ont , dans les monarchies , des prin- cipes si différens et des règles si contraires , qu'il est presque impossible d'allier les deux administrations , et qu'en général les membres des tribunaux sont peu propres pour les conseils ...
109. oldal
... civil , il peut y avoir quelque règle d'administration légitime et sûre , en prenant les hommes tels qu'ils sont , et les lois telles qu'elles peuvent être . Je tâcherai d'allier tou- jours dans cette recherche ce que le droit permet ...
... civil , il peut y avoir quelque règle d'administration légitime et sûre , en prenant les hommes tels qu'ils sont , et les lois telles qu'elles peuvent être . Je tâcherai d'allier tou- jours dans cette recherche ce que le droit permet ...
123. oldal
... civil ; il suppose une délibération publique . Avant donc que d'examiner l'acte par lequel un peuple élit un roi , il seroit bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple ; car cet acte , étant nécessai- rement antérieur à l ...
... civil ; il suppose une délibération publique . Avant donc que d'examiner l'acte par lequel un peuple élit un roi , il seroit bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple ; car cet acte , étant nécessai- rement antérieur à l ...
128. oldal
... civil , que nul n'est tenu aux engagemens pris avec lui - même ; car il y a bien de la différence entre s'obliger envers soi , ou envers un tout dont on fait partie . Il faut remarquer encore que la délibération pu- blique , qui peut ...
... civil , que nul n'est tenu aux engagemens pris avec lui - même ; car il y a bien de la différence entre s'obliger envers soi , ou envers un tout dont on fait partie . Il faut remarquer encore que la délibération pu- blique , qui peut ...
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Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
abus acte affaires aisément assemblées avantages avoient avoit besoin CHAP CHAPITRE chefs chiavel choses citoyens civil comices confédération conseil conserver constitution Contrat social corps politique Corse diète diétines dire doit donner élection enfans éphores établi état étoient étoit faudroit foible force gouvernemens Grotius guerre Henri IV hommes institution intérêts j'ai jamais juge l'abbé de Saint-Pierre l'administration l'autre l'état l'Europe l'intérêt l'ordre équestre laisser lative législation liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs monarchie moyen n'en n'étoit nation nécessaire nombre nonces pacta conventa paix palatinats palatins paroît particulier patrie pays peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'un raison rapport république république de Venise reste rien rois Romains Rome s'il sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets système tion toyens tribunat tribus visirat Voilà volonté générale voudrois
Népszerű szakaszok
127. oldal - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
112. oldal - L'homme est né libre, et partout il est dans les fers. Tel se croit le maître des autres, qui ne laisse pas d'être plus esclave qu'eux. Comment ce changement s'est-il fait? Je l'ignore. Qu'est-ce qui peut le rendre légitime? Je crois pouvoir résoudre cette question.
128. oldal - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
253. oldal - Quand on propose une loi dans l'assemblée du peuple , ce qu'on leur demande n'est pas précisément s'ils approuvent la proposition ou s'ils la rejettent, mais si elle est conforme ou non à la volonté générale, qui est la leur...
298. oldal - ... sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle. Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement Ls lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
297. oldal - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il » appartient au Souverain de fixer les articles, non pas préci» sément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de » sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen
117. oldal - Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir.
135. oldal - ... l'état, à l'égard de ses membres, est maître de tous leurs biens par le contrat social , qui , dans l'état, sert de base à tous les droits; mais il ne l'est, à l'égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu'il tient des particuliers.
159. oldal - Pour découvrir les meilleures règles de société qui conviennent aux nations, il faudrait une intelligence supérieure qui vît toutes les passions des hommes et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond...
161. oldal - S'il doit l'être par son génie, il ne l'est pas moins par son emploi. Ce n'est point magistrature, ce n'est point souveraineté. Cet emploi, qui constitue la République, n'entre point dans sa constitution. C'est une fonction particulière et supérieure, qui n'a rien de commun avec l'empire humain. Car, si celui qui commande aux hommes ne doit pas commander aux lois, celui qui commande aux lois ne doit pas non plus commander aux hommes.