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" Mais n'ayons point d'amour : il est trop dangereux. Dieux ! disait le berger, quelle est ma récompense ? Vous ne me marquerez aucune préférence. Avec cette amitié dont vous flattez mes maux, Vous vous plairez encore au chant de mes rivaux. "
Grundriss der Theorie und Geschichte der schönen Wissenschaften - 337. oldal
szerző: Christoph Meiners - 1787 - 360 oldal
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Lettres galantes de Monsieur le chevalier d'Her***. Poesies pastorales

M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1701 - 436 oldal
...,quelle eft marécompenfe! Vous ne me marquerez aucune préference , Avec cette amitié dont vous ttatez mes maux. Vous vous plairez encore aux chants de mes Rivaux. Je ne connois que trop voftre humeur complaîfante, Vous aurez avec eux la douceur qui m'enchante, Et ces vifs agrémens ,...

Oeuvres diverses de m. de Fontenelle, 3. kötet

M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1736 - 350 oldal
...quelle eft ma recompenfc! Vous ne me marquerez aucune préference, Avec cette amitié dont vous Hatez mes maux Vous vous plairez encore aux chants de mes Rivaux. Je ne connais que trop votre humeur complaifante, Vous aurez avec eux la douceur qui m'enchante, Et ces vifs...

Œuvres de Monsieur de Fontenelle,: des Académies, françoise, des ..., 4. kötet

M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1766 - 424 oldal
...eft trop dangereux. Dieux ! difoit le Berger , quelle eft ma récompenfe! Vous ne me marquerez aucune préférence : Avec cette amitié dont vous flattez mes maux , Vous vous plairez encore au chant de mes rivaux. Je ne connois que trop votre humeur complaifante; Vous aurez avec eux la douceur...

Élite de pöesies fugitives ...

1769 - 334 oldal
...ne me marquerez aucune préfétence ? »Avec /certe amitié, dont vous flartez mes maux, »Vous vouf plairez encore aux chants de mes .rivaux. »Je ne...avec eux la douceur qui m'enchante , «Et ces vifs agréments, & ces fouris flarteurs »Que devraient ignorer tous les aurres pafteurs. * AJi ! plurôt...

Les bijoux des Neuf-Sœurs, 1. kötet

1790 - 316 oldal
...; Notre amicié peut-être aura l'air amoureux; Mais n'ayons point d'.um.ur, il eft trop dangereux. Avec cette amitié dont vous flattez mes maux ; Vous...vous plairez encore aux chants de mes rivaux ; Je ne connais que trop votre humeur complaifante , Vous aurez avec eux la douceur qui m'enchante , Et ces...

Oeuvres de Fontenelle: des Académies Française, des Sciences, des ..., 5. kötet

M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1790 - 466 oldal
...trop dangereux. Dieux ! disoit le berger , quelle est ma récompense ! Vous ne me marquerez aucune préférence : Avec cette amitié dont vous flattez mes maux , Vous vous plairez encore au chant de mes rivaux. Je ne connois que trop votre humeur complaisante ; Vous aurez avec eux la douceur...

Petite encyclopédie poétique; ou, Choix de poésies dans tous les ..., 11. kötet

1805 - 342 oldal
...dangereux. Dieux! disait le berger, quelle est ma récompense! Vous ne me marquerez aucune preference; Avec cette amitié dont vous flattez mes maux Vous...vous plairez encore aux chants de mes rivaux! Je ne connais que trop votre humeur complaisante ! Vous aurez avec eux la douceur qui m'enchante, Et ces...

Cours de littérature, d'histoire et de philosophie: Extraits de ..., 2. kötet

Jean-Pons-Victor Lecoutz de Levizac, François Moysant - 1814 - 572 oldal
...trop dangereux. — Dieux, disoit le berger, quelle est ma récompensa ! Vous ne me marquerez aucune préférence ; Avec cette amitié, dont vous flattez mes maux, Vous vous plairez encore au chant de mes rivaux. Je ne connois que trop votre humeur complaisante ; Vous aurez avec eux la douceur...

Nouvelle encyclopédie poétique: ou, Choix de poésies dans tous les ..., 6. kötet

Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 452 oldal
...trop dangereux. Dieux ! disait le berger , quelle est ma récompense ! Vous ne me marquerez aucune préférence ; Avec cette amitié dont vous flattez...vous plairez encore aux chants de mes rivaux ! Je ne connais que trop votre humeur complaisante l Vous aurez avec eux la douceur qui m'enchante, Et ce*...

Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne

Jean-François de La Harpe - 1839 - 434 oldal
...est trop dangereux. Dieux ! disait le berger, quelle est ma récompense ? Vous ne me marquerez aucune préférence. Avec cette amitié dont vous flattez mes maux, Vous vous plairez encore au chant de mes rivaux. Je ne connais que trop votre humeur complaisante : Vous aurez avec eux la douceur...




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