Fables, avec de nouvelles notes par m. de Lévizac. Gros |
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... répartit le chien : Quittez les bois , vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables , Cancres , hères ( 3 ) et pauvres diables , Dont la condition est de mourir de faim . Car , quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée ( 4 ) ...
... répartit le chien : Quittez les bois , vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables , Cancres , hères ( 3 ) et pauvres diables , Dont la condition est de mourir de faim . Car , quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée ( 4 ) ...
51. oldal
... repartit : Je suis âne , il est vrai , j'en conviens , je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue , Qu'on dise quelque chose , ou qu'on ne dise rien , J'en veux faire à ma tête . Il le fit et fit bien . Quant à vous ...
... repartit : Je suis âne , il est vrai , j'en conviens , je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue , Qu'on dise quelque chose , ou qu'on ne dise rien , J'en veux faire à ma tête . Il le fit et fit bien . Quant à vous ...
65. oldal
... repartit : eh quoi ! cette musique , Pour ne chanter qu'aux animaux , Tout au plus à quelque rustique ! Le désert est - il fait pour des taleus si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles : Aussi - bien , en voyant les ...
... repartit : eh quoi ! cette musique , Pour ne chanter qu'aux animaux , Tout au plus à quelque rustique ! Le désert est - il fait pour des taleus si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles : Aussi - bien , en voyant les ...
66. oldal
... repartit : non , ne le suivez pas , Rebroussez plutôt en arrière : Quelle que soit la pente et l'inclination Dont l'eau par sa course l'emporte , L'esprit de contradiction L'aura fait flotter d'autre sorte .. Cet homme se railloit assez ...
... repartit : non , ne le suivez pas , Rebroussez plutôt en arrière : Quelle que soit la pente et l'inclination Dont l'eau par sa course l'emporte , L'esprit de contradiction L'aura fait flotter d'autre sorte .. Cet homme se railloit assez ...
75. oldal
... Repartit le seigneur : fût - il diable , Miraut ( 4 ) En dépit de ses tours , l'attrapera bientôt . Je vous en déferai , bon homme , sur ma vie ; Et quand ? et dès demain , sans tarder plus long - temps . La partie ainsi faite , il ...
... Repartit le seigneur : fût - il diable , Miraut ( 4 ) En dépit de ses tours , l'attrapera bientôt . Je vous en déferai , bon homme , sur ma vie ; Et quand ? et dès demain , sans tarder plus long - temps . La partie ainsi faite , il ...
Gyakori szavak és kifejezések
Adieu alloit amant âme Amour animaux Apollon assez auroit aussi-bien avoient avoit beau belette belle Belphegor berger bête bois C'étoit cent Cérès cerf charmes chasseur chat chère chien chose ciel Clymène cœur coguée conte corbeau cormoran coup crut déesse devoit Dieu dieux dire disoit disoit-il dit-il donne doux encens enfants enfin époux Esope esprit étoient étoit eût fable faisoit femme fille Fontaine Fortune gens Grecs Grenouilles homme hymen J'ai J'en jamais Japet jour Jupiter l'aigle l'amour l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lion logis loup maint maître malheureux manger mieux mort mouche mouton n'avoit n'en neuf sœurs oiseaux passer pauvre peine père peuple Phèdre Phocide Pilpay plaisir pleurs pouvoit prince qu'un raison renard rien s'en sage seigneur seroit seul signifie singe sire sœurs soin sort souris Styx Télamon tête Tircis trésor trouve Ulysse veux vient vieux voilà voleurs vouloit yeux zéphyrs
Népszerű szakaszok
288. oldal - Il ne convient pas à vous-mêmes. Repartit le vieillard. Tout établissement * Vient tard, et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée, Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
244. oldal - L'animal chargé d'ans, vieux cerf, et de dix cors, En suppose un plus jeune, et l'oblige par force A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours!
280. oldal - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
218. oldal - L'emportèrent enfin. Il dit : « Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite : Je reviendrai' dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère ; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là : telle chose m'avint : Vous y croirez être vous-même.
159. oldal - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son. Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
169. oldal - C'était un beau sujet de guerre Qu'un logis où lui-même il n'entrait qu'en rampant. « Et quand ce serait un royaume Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi En a pour toujours fait l'octroi A Jean fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume, Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi.
280. oldal - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes!
119. oldal - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
159. oldal - Pyrrhus, la laitière, enfin tous. Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous , Tous les honneurs , toutes les femmes.
3. oldal - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.