Les fleurs de la poésie française, depuis le commencement du XVIe siècle jusqu'a nos jours, avec une notice sur chaque poëteA. Mame et cie, 1859 - 388 oldal |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 57 találatból.
18. oldal
... jeune fillette au soir , De sa quenouille laisse cheoir Quand au foyer elle sommeille , Frappant son sein de son aureille , Et son tors fuseau délié Loin de sa main roule à son pié : Ainsi tu roules , alouette , Ma doucelette ...
... jeune fillette au soir , De sa quenouille laisse cheoir Quand au foyer elle sommeille , Frappant son sein de son aureille , Et son tors fuseau délié Loin de sa main roule à son pié : Ainsi tu roules , alouette , Ma doucelette ...
20. oldal
... jeune enfance ; Avril , l'honneur des prez vers , Jaunes , pers , Qui d'une humeur bigarrée , Émaillent de mille fleurs De couleurs Leur parure diaprée ; Avril , c'est ta douce main Qui , du sein De la nature , desserre Une moisson de ...
... jeune enfance ; Avril , l'honneur des prez vers , Jaunes , pers , Qui d'une humeur bigarrée , Émaillent de mille fleurs De couleurs Leur parure diaprée ; Avril , c'est ta douce main Qui , du sein De la nature , desserre Une moisson de ...
29. oldal
... jeune saison ! Mais quoi ! tous les pensers dont les âmes bien nées Excitent leur valeur et flattent leur devoir , Que sont - ce que regrets , quand le nombre d'années Leur ôte le pouvoir ? Je suis vaincu du temps , je cède à ses ...
... jeune saison ! Mais quoi ! tous les pensers dont les âmes bien nées Excitent leur valeur et flattent leur devoir , Que sont - ce que regrets , quand le nombre d'années Leur ôte le pouvoir ? Je suis vaincu du temps , je cède à ses ...
32. oldal
... jeune frisé , relevé de moustache , De galoche , de botte , et d'un ample panache ( 1 ) , Me vint prendre , et me dit , pensant dire un bon mot : Pour un poëte du temps , vous estes trop dévot . Moi , civil , je me lève , et le bonjour ...
... jeune frisé , relevé de moustache , De galoche , de botte , et d'un ample panache ( 1 ) , Me vint prendre , et me dit , pensant dire un bon mot : Pour un poëte du temps , vous estes trop dévot . Moi , civil , je me lève , et le bonjour ...
89. oldal
... jeune enfant couvert d'une robe éclatante , Tel qu'on voit des Hébreux les prêtres revêtus . Sa vue a ranimé mes esprits abattus ; Mais lorsque , revenant de mon trouble funeste , J'admirais sa douceur , son air noble et modeste , J'ai ...
... jeune enfant couvert d'une robe éclatante , Tel qu'on voit des Hébreux les prêtres revêtus . Sa vue a ranimé mes esprits abattus ; Mais lorsque , revenant de mon trouble funeste , J'admirais sa douceur , son air noble et modeste , J'ai ...
Gyakori szavak és kifejezések
affreux AGAMEMNON ailes âme amour anges Apollon arbrisseau autels beau berceau bords bras brillant BURRHUS céleste chants charme CHRYSALE ciel cieux Cinna cœur déserts Dieu dieux divin douce douleur doux éclat Égypte Émile Deschamps encens enfants Enfants d'Édouard esprit expire feux fille fils flamme fleurs flots foule François Ier frémit front fureur gloire hameau Hélas heureux j'ai jeune jour l'aurore l'autel l'ombre l'onde l'univers laisse Lamartine larmes léger fuseau lieux loin Louis Racine Louis XIII main malheureux mère monde monts mort mortels mourir mourut murmure naquit Néron Nouvelles Méditations poétiques nuit ombre Oronte pâle parfums pauvre pensée père peuple PHILAMINTE pieds pleurs poëme poésie poëte poétiques prière printemps qu'un RACAN rayons regard rois Ronsard rose sacrés saint sang Seigneur Séphora seul silence sœur soir soleil sombre sommeil souffle style talent tempête temple terre tombe tombeaux tremble trépas triste vents vœux voilà voile voit voix yeux zéphyrs
Népszerű szakaszok
91. oldal - C'est lui-même; il m'échauffe, il parle : mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHOEUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
125. oldal - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines! C'est le sang de...
156. oldal - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine...
25. oldal - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
29. oldal - Je suis vaincu du temps ; je cède à ses outrages ; Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possedai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours.
125. oldal - C'est le sang des héros défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs.... O fille encor trop chère! Connais-tu ton destin? sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour, Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée...
156. oldal - L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
49. oldal - Ont jadis dans mon camp tenu les premiers rangs ; A ceux qui de leur sang m'ont acheté l'empire, Et qui m'ont conservé le jour que je respire ; De la façon enfin qu'avec toi j'ai vécu, Les vainqueurs sont jaloux du bonheur du vaincu.
95. oldal - Fontenay, lieu délicieux Où je vis d'abord la lumière, Bientôt au bout de ma carrière, Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir, Beaux arbres, qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir ! Cependant du frais de votre ombre...
73. oldal - , entre mille roseaux , Le Rhin tranquille et fier du progrès de ses eaux , Appuyé d'une main sur son urne penchante , Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri , tout à coup suiri de mille cris , Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.