La fin d'un monde et du neveu de RameauE. Dentu, 1861 - 343 oldal |
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
âme amours archet avez baron beau belles billet Bouret Boynes bruit c'était café Procope chansons chanter charmant chestre chevalier chose clavecin cœur comédie comédiens comte comtesse d'Alembert dames Dangeville danse Dazincourt Dieu dîner disait dit-il duchesse Élysées enfant esprit êtes eût faiseurs fameux femme fête fille fils fortune Fréron FRESNE gens Guimard habit heure honte j'ai j'aurais j'avais j'étais jeune homme joli jour l'abbé l'Encyclopédie l'Opéra Laharpe loterie madame main maison maître maîtresse maîtresse royale malheureux maréchal Marmontel marquis de Fleuri marquise meau ment messieurs Mile misère Mlle DE FRESNE Mlle Guimard monsieur Diderot mort musicien musique Nesle neveu de Rameau passer pauvre peine père petite philosophe pieds pitié poëte porte prince prince de Conti prince de Soubise Rameau regard reux rien rire royale saint savait seigneurs sera seul sieur sourire tête théâtre tragédie triste Vestris violon voilà voix Voltaire vrai yeux
Népszerű szakaszok
241. oldal - Parlerai-je d'Iris? Chacun la prône et l'aime; C'est un cœur, mais un cœur... c'est l'humanité même! Si d'un pied étourdi quelque jeune éventé Frappe, en courant, son chien qui jappe épouvanté...
240. oldal - Enfans efféminés de pères sans vigueur ; Et cependant nourris des leçons de nos sages • Vous les voyez encore , amoureux et volages , Chercher, la bourse en main , de beautés en beautés La mort qui les attend au sein des voluptés ; De leurs biens, prodigués pour d'infâmes caprices.
310. oldal - Voici la charmante retraite De la félicité parfaite : Voici l'heureux séjour Des jeux et de l'amour. Jamais dans ces beaux lieux votre attente n'est vaine; Le bien que vous cherchez se vient offrir à vous ; Et pour l'avoir trouvé sans peine, Devez-vous le trouver moins doux ? Voici la charmante retraite, etc.
336. oldal - Un prêtre, environné d'une foule cruelle, Portera sur ma fille une main criminelle, Déchirera son sein, et, d'un œil curieux, Dans son cœur palpitant consultera les dieux...
177. oldal - Qui veut de tout, de tout aura. Qu'il aille entendre l'opéra, Chant d'église, chant de boutique, Du bouffon...
94. oldal - A Paris sont en grand soûlas Deux saints prélats. L'un est le chef, et l'autre son Premier garçon. Leur carnaval est d'annoncer Qu'on peut laisser Filles, garçons, femmes et veufs, Casser leurs œufs. Suivons tous les commandements Des mandements. Celui-ci n'est pas trop mauvais, Pour du Beauvais. Sur Figaro, sur l'Opéra, Et cétéra , L'on y voit des conseils tout neufs, A propos d'œufs.
136. oldal - Le grand bruit de Paris, dit-on, Est que mainte femme de nom Quête pour une tragédie Où doit jouer la Frétillon, Pour enrichir un histrion. Tous les jours nouvelle folie. Le faquin , La catin , Intéresse Baronne , marquise et duchesse. Pour un fat , pour un polisson , Toutes nos dames du bon ton Vont cherchant dans le voisinage.
241. oldal - Serpentent sur son sein, pendent à ses oreilles; Les arts, pour l'embellir, ont uni leurs merveilles : Vingt familles enfin couleraient d'heureux jours, Riches des seuls trésors perdus pour ses atours. Malgré ce luxe affreux et sa fierté sévère, Cloris, on le prétend, se montre populaire : Oui, déposant l'orgueil de ses douze quartiers...
78. oldal - Bouillon est preux et vaillant, II aime la Guerre; A tout autre amusement Son cœur la préfère; Ma foi, vive un chambellan Qui toujours s'en va disant : Moi, j'aime la Guerre, ô gué, Moi, j'aime la Guerre.
241. oldal - Cloris n'est que parée, et Cloris se croit belle; En vêtements légers l'or s'est changé pour elle ; Son front luit, étoile de mille diamants; Et mille autres encore, effrontés ornements, Serpentent sur son sein, pendent à ses oreilles; Les arts, pour l'embellir, ont uni leurs merveilles : Vingt familles enfin couleraient d'heureux jours, Riches des seuls trésors perdus pour ses atours.