Revue historique, littéraire et archéologique de l'Anjou, 3. kötet

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Impr. librairie G. Grassin., 1868
 

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136. oldal - L'autre grâce est qu'il ait la bonté d'achever avec mon successeur ce qui n'a pu être achevé avec moi pour messieurs de SaintSulpice.
30. oldal - Hos ego versiculos feci, tulit alter honores : Sic vos non vobis nidificatis aves ; Sic vos non vobis vellera fertis oves ; Sic vos non vobis mellificatis apes ; Sic vos non vobis fertis aratra boves.
170. oldal - Un jour, quelle joie dans la ville ! que de bruit et d'éclats de rire ! Tout le monde riait, excepté celui qui était l'objet de la risée générale. C'était un procureur de la sénéchaussée de Morlaàs qu'on promenait dans les rues, assis à rebours sur un âne dont il tenait la queue en guise de bride. Son cortège burlesque était composé de clercs de la Bazoche, et précédé d'une musique charivarique de cornes, de chaudrons, de clefs forées, et autres instruments discordants. A cette...
93. oldal - Allarmons tous les quartiers, tendons les chaînes , renouvelons les barricades , mettons l'épée au vent , tuons , saccageons , brisons , sacrifions à notre vengeance tout ce qui ne se croisera pas pour marquer le parti de la liberté.
142. oldal - Jésus-Christ dans l'Évangile : « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle...
192. oldal - J'ai perdu la meute et la chasse. Je jette ma voix dans l'espace... Nul ne répond... j'appelle en vain !... Je vais attendre sous les aulnes , Prés de ces joncs pliants et jaunes , Mon fusil couché sous ma main. Après les stériles fougères , Après les arides bruyères , Après l'épaisseur des forêts, Quand un air frais vient me surprendre , Sous mes yeux j'aime à voir s'étendre Le morne aspect d'un grand marais. J'aime ces herbes...
325. oldal - ... catholique, en vertu de l'institution et du commandement de son divin Fondateur, doit faire usage jusqu'à la consommation des siècles, non moins à l'égard des particuliers qu'à l'égard des nations, des peuples et de leurs souverains, et de détruire l'union et la concorde mutuelle du sacerdoce et de l'empire, toujours si salutaire à l'Église et à l'État.
90. oldal - Il me semble que je n'ai été jusqu'ici que dans le parterre, ou tout au plus dans l'orchestre , à jouer et à badiner avec les violons. Je vais monter sur le théâtre , où vous verrez des scènes , non pas dignes de vous, mais un peu moins indignes de votre attention.
192. oldal - J'aime les corsets bleus et frêles Des innombrables demoiselles Qui vont bourdonnant sur les fleurs, Et qui mêlent au vert des plantes Leurs paillettes étincelantes Et leurs diaphanes couleurs. Souvent, alors, mon front se penche, Docile au vent comme la branche Du saule qui frémit là-bas ; Et , las des plaisirs éphémères Je rêve de douces chimères Que l'avenir ne verra pas. Là, nul bruit ne vient me distraire; Mélancolique et solitaire, Je me hâte de sommeiller; Là, je peux rêver...
167. oldal - Jeunes gens ! c'est pour les loisirs du château que le village suait dans les champs, dans les prés, dans les vignes ; c'est pour que le château dormît jusqu'à midi que le village se levait avant le jour ; c'est pour que le château eût des hors-d'œuvre, du rôt, des sucreries, fît fête, que le village se nourrissait de pain noir, jeûnait. D'un côté, du côté de la faiblesse, durée de la force ; de l'autre, du côté de la force, durée de la faiblesse.

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