Mémoires de la Société académique de Maine-et-Loire, 1-4. kötet

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108. oldal - Sans herbe : s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée : et si j'eusse eu pour maître Un serpent , eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude ? Adieu : j'ai dit ce que je pense.
113. oldal - Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s'est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau.
109. oldal - L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents : Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il sût faire : II courbait sous les fruits.
108. oldal - Beau nez, dont les rubis ont coûté mainte pipe De vin blanc et clairet, Et duquel la couleur richement participe Du rouge et violet ; Gros nez! qui te regarde à travers un grand verre Te juge encor plus beau : Tu ne ressembles point au nez de quelque hère Qui ne boit que de l'eau.
104. oldal - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
118. oldal - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
109. oldal - Courbait sous les fruits. Cependant, pour salaire, Un rustre l'abattait, c'était là son loyer, Quoique, pendant tout l'an, libéral il nous donne Ou des fleurs au printemps, ou du fruit en automne; L'ombre l'été; l'hiver, les plaisirs du foyer.
99. oldal - Sage en vos faicts et bien entreprenant, Souverain homme de guerre, Vainqueur de gens et conquereur de terre, Le plus vaillant qui oncques fust en vie, Chacun pour vous doit noir vestir et querre : Plourez, plourez, flour de chevalerie2!
114. oldal - Le Temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye. Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie Gouttes d'argent d'orfaverie : Chascun s'abille de nouveau.
66. oldal - ... tellement qu'il faut garnir la table de plusieurs mets; car le François, pour la nature de sa région, qui est plus froide que l'Espagne et l'Italie, ne peut vivre de curedens comme l'Italien...

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