The Claims of French Poetry: Nine Studies in the Greater French Poets, 75. kötetA. Constable, Limited, 1907 - 313 oldal |
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The Claims of French Poetry: Nine Studies in the Greater French Poets John C. Bailey Nincs elérhető előnézet - 2014 |
Gyakori szavak és kifejezések
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269. oldal - And as, year after year, Fresh products of their barren labour fall From their tired hands, and rest Never yet comes more near, Gloom settles slowly down over their breast ; And while they try to...
271. oldal - Calm soul of all things ! make it mine To feel, amid the city's jar, That there abides a peace of thine, Man did not make, and cannot mar. The will to neither strive nor cry, The power to feel with others give ! Calm, calm me more! nor let me die Before I have begun to live.
222. oldal - And the many-voiced fountains ; The clearest echoes of the hills, The softest notes of falling rills. The melodies of birds and bees, The murmuring of summer seas, And pattering rain, and breathing dew, And airs of evening ; and it knew That seldom-heard mysterious sound, Which, driven on its diurnal round, As it floats through boundless day, Our world enkindles on its way.
135. oldal - Mes amis, dit le solitaire. Les choses d'ici-bas ne me regardent plus : En quoi peut un pauvre reclus Vous assister? que peut-il faire Que de prier le ciel qu'il vous aide en ceci? J'espère qu'il aura de vous quelque souci.
139. oldal - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande : on ne croirait jamais Que ce fût...
267. oldal - Au contour des ravins, sur les hauteurs sauvages, Une molle vapeur efface les chemins ; La lune tristement baigne les noirs feuillages; L'oreille n'entend plus les murmures humains. Mais sur le sable au loin chante la mer divine, Et des hautes forêts gémit la grande voix, Et l'air sonore, aux cieux que la nuit illumine, Porte le chant des mers et le soupir des bois. Montez, saintes rumeurs, paroles surhumaines, Entretien lent et doux de la terre et du ciel ! Montez, et demandez aux étoiles sereines...
112. oldal - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager? Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, Toujours divers, toujours nouveau; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
91. oldal - Par les ombres myrteux je prendray mon repos : Vous serez au fouyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.
138. oldal - On en use ainsi chez les grands : La raison les offense, ils se mettent en tête Que tout est né pour eux, quadrupèdes et gens, Et serpents.
141. oldal - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.