Modestes observations sur l'art de versifier

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Bernoux et Cumin, 1893 - 355 oldal
 

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Népszerű szakaszok

274. oldal - I bring fresh showers for the thirsting flowers, From the seas and the streams; I bear light shade for the leaves when laid In their noonday dreams. From my wings are shaken the dews that waken The sweet buds every one, When rocked to rest on their mother's breast, As she dances about the sun. I wield the flail of the lashing hail, And whiten the green plains under, And then again I dissolve it in rain, And laugh as I pass in thunder.
327. oldal - Drink to me only with thine eyes, And I will pledge with mine; Or leave a kiss but in the cup And I'll not look for wine. The thirst that from the soul doth rise Doth ask a drink divine; But might I of Jove's nectar sup, I would not change for thine.
252. oldal - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
181. oldal - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
322. oldal - Fuite de centaures : Ils fuient, ivres de meurtre et de rébellion, Vers le mont escarpé qui garde leur retraite ; La peur les précipite, ils sentent la mort prête, Et flairent dans la nuit une odeur de lion. Ils franchissent, foulant l'hydre et le stellion, Ravins, torrents, halliers, sans que rien les arrête, Et déjà, sur le ciel, se dresse au loin la crête De l'Ossa, de l'Olympe ou du noir Pélion.
164. oldal - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
243. oldal - S'il voulait encor me laisser paître! Mais je suis attachée, et, si j'eusse eu pour maître Un Serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude?
122. oldal - I have found out a gift for my fair ; I have found where the wood-pigeons breed ; But let me that plunder forbear, She will say 'twas a barbarous deed. For he ne'er could be true, she averred, Who could rob a poor bird of its young ; And I loved her the more when I heard Such tenderness fall from her tongue.
201. oldal - Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins toujours vert, Où, sous un ciel chagrin, des fanfares étranges Passent, comme un soupir étouffé de Weber...
222. oldal - II vit, à quelques pas du seuil d'une chaumière, Gisant à terre, un porc fétide qu'un boucher Venait de saigner vif avant de l'écorcher ; Cette bête râlait devant cette masure ; Son cou s'ouvrait, béant d'une affreuse blessure ; Le soleil de midi brûlait l'agonisant ; Dans la plaie implacable et sombre dont...

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