Thèses de littérature

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L. Hachette, 1856 - 507 oldal

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173. oldal - , entre mille roseaux , Le Rhin tranquille et fier du progrès de ses eaux , Appuyé d'une main sur son urne penchante , Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri , tout à coup suiri de mille cris , Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
59. oldal - Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu, cette vesprée, Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil.
183. oldal - S'il rencontre un palais, il m'en dépeint la face ; II me promène après de terrasse en terrasse ; Ici s'offre un perron ; là règne un corridor ; Là ce balcon s'enferme en un balustre d'or. Il compte des plafonds les ronds et les ovales ; " Ce ne sont que festons, ce ne sont qu'astragales.
182. oldal - Que Neptune en courroux, s'élevant sur la mer, D'un mot calme les flots, mette la paix dans l'air, Délivre les vaisseaux , des syrtes les arrache : C'est là ce qui surprend , frappe, saisit, attache'.
351. oldal - Sachez, monsieur, que tant va la cruche à l'eau qu'enfin elle se brise; et, comme dit fort bien cet auteur que je ne connois pas, l'homme est, en ce monde, ainsi que l'oiseau sur la branche...
406. oldal - ... c'est l'art, ou de réunir deux choses éloignées, ou de diviser deux choses qui paraissent se joindre , ou de les opposer l'une à l'autre; c'est celui de ne dire qu'à moitié la pensée pour la laisser deviner.
405. oldal - Ce qu'on appelle esprit est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine: ici l'abus d'un mot qu'on présente dans un sens, et qu'on laisse entendre dans un autre; là un rapport délicat entre deux idées peu...
309. oldal - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
317. oldal - D'un mensonge si noir justement irrité, Je devrais faire ici parler la vérité, Seigneur; mais je supprime un secret qui vous touche. Approuvez le respect qui me ferme la bouche, Et, sans vouloir vous-même augmenter vos ennuis, Examinez ma vie, et songez qui je suis. Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes; Quiconque a pu franchir les bornes légitimes...
107. oldal - On doit le temps ainsi prendre qu'il vient: Tout dit que pas ne dure la fortune. Un temps se part, et puis l'autre revient: On doit le temps ainsi prendre qu'il vient. Je me comforte en ce qu'il me souvient Que tous les mois avons nouvelle lune: On doit le temps ainsi prendre qu'il vient: Tout dit que pas ne dure la fortune.

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