PAGE 163, VERS 593. Leur céleste travail vient d'ébaucher la foudre, PAGE 167, VERS 641. Tandis que Vulcain presse et dirige l'ouvrage, PAGE 169, VERS 677. » Mais, déchue aujourd'hui de sa splendeur antique.... Idem, VERS 689. » Mais son peuple, à la fin, lassé de tant de crimes.... PAGE 177, VERS 789. Mais déjà, consternant la foule épouvantée.... PAGE 181, VERS 859. Marche, abrégeant la route : ils avancent..... PAGE 183, VERS 863. Et dans des flots de poudre emportant les soldats, pas. Et de leurs quatre fers battant les champs poudreux, D'un tourbillon de sable obscurcissent les cieux. Et d'un essor égal battant les champs poudreux.... Idem, VERS S74. Et d'un culte pieux tous les ans l'honorèrent. VARIANTES DU LIVRE NEUVIÈME. PAGE 229, VERS 29. ET, mêlant son hommage à ses fureurs guerrières, Charge de vœux le ciel, et les dieux de prières, PAGE 233, VERS 83. Dans l'ombre de la nuit tel un loup inhumain, Qu'ont tourmenté long-temps et la soif et la faim. Idem, VERS 106. Partent des tourbillons de feux et de fumée. Partent des tourbillons d'une épaisse fumée. Part un torrent de feux dans des flots de fumée. PAGE 239, VERS 165. Tout à coup, ô prodige! autant que de ces rives L'œil dans le sein des eaux vit de poupes captives. III. 23 PAGE 261, VERS 475. Leur cou, qui de leur char débordoit suspendu, PAGE 265, VERS 531. Celui-ci, par sa mort, de ce superbe don.... Quand son regard perçant au sein de la forêt.... Idem, VERS 552. » Et pourquoi cette armure, appareil des combats ? >> PAGE 267, VERS 559. A travers les taillis et les rameaux nombreux.... Idem, VERS 580. Et des cris effrayans jusqu'à lui sont portés. PAGE 269, VERS 586. Doit-il, cherchant lui-même une mort volontaire.... PAGE 271, VERS 614. Soudain s'abandonnant à l'ardeur qui l'entraîne.... Idem, VERS 617. Ne peut plus supporter cette horrible contrainte Idem, VERS 625. Inutile discours!.... PAGE 285, VERS 823. Vers les mêmes remparts. PAGE 287, VERS 845. Renversé par Liger, Émathion soupire; PAGE 293, VERS 940. » A la corne dorée, à l'œil fier, aux poils blancs; » Qui déjà vigoureux, levant sa tête altière, » Dans l'herbage natal marche égal à sa mère. PAGE 295, VERS 967. >> Troie étoit peu pour toi, ton empire est sans fin, » Et l'univers lui seul suffit à ton destin. » A ces mots il descend de la céleste plage, PAGE 297, VERS 1000. La grêle tombe, roule et bondit dans les champs. PAGE 299, VERS 1008. A chacune des tours se place avec fierté. Idem, VERS 1029. Tout à coup il apprend que les enfans de Troi Eux-mêmes aux Latins osent offrir leur proie.... |