Oeuvres complètes de Mathurin RégnierP. Jannet, 1853 - 340 oldal |
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xvii. oldal
... estant mocqué ; Où fortune jouant , de nos estats se joue Qu'elle tourne et renverse et change avec sa roue . Tout y est inconstant , tout y est imparfaict ; L'un monte , l'autre chèt , et nul n'est satisfaict . L'esprit vif s'y fait ...
... estant mocqué ; Où fortune jouant , de nos estats se joue Qu'elle tourne et renverse et change avec sa roue . Tout y est inconstant , tout y est imparfaict ; L'un monte , l'autre chèt , et nul n'est satisfaict . L'esprit vif s'y fait ...
xxxv. oldal
... estant rien en soi qu'imagination , Ne peut montrer le vray de leur affection : Car , discourant d'amour souvent comme clercs d'armes , Pensent qu'amour ne soit que soupirs et que larmes , Que sanglots et tourments , qu'importune ...
... estant rien en soi qu'imagination , Ne peut montrer le vray de leur affection : Car , discourant d'amour souvent comme clercs d'armes , Pensent qu'amour ne soit que soupirs et que larmes , Que sanglots et tourments , qu'importune ...
4. oldal
... estant ce miracle à toy seul réservé , Comme au Dieu du pays * en ses desseins parjures , Tu faits que tes bontez excedent ses injures . Or après tant d'exploicts finis heureusement , Laissant aux cœurs des tiens , comme un vif monu ...
... estant ce miracle à toy seul réservé , Comme au Dieu du pays * en ses desseins parjures , Tu faits que tes bontez excedent ses injures . Or après tant d'exploicts finis heureusement , Laissant aux cœurs des tiens , comme un vif monu ...
5. oldal
... estant ce miracle à toy seul réservé , 2 Comme au Dieu du pays en ses desseins parjures , Tu faits que tes bontez excedent ses injures . [ ment , Or après tant d'exploicts finis heureusement , Laissant aux cours des tiens , comme un vif ...
... estant ce miracle à toy seul réservé , 2 Comme au Dieu du pays en ses desseins parjures , Tu faits que tes bontez excedent ses injures . [ ment , Or après tant d'exploicts finis heureusement , Laissant aux cours des tiens , comme un vif ...
28. oldal
... Estant serf du desir d'aprendre et de sçavoir , Je ne ferois sinon que changer de devoir . C'est l'arrest de nature , et personne en ce monde Ne sçauroit contrôler sa sagesse profonde . Puis , que peut - il servir aux mortels icy bas ...
... Estant serf du desir d'aprendre et de sçavoir , Je ne ferois sinon que changer de devoir . C'est l'arrest de nature , et personne en ce monde Ne sçauroit contrôler sa sagesse profonde . Puis , que peut - il servir aux mortels icy bas ...
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80. oldal - ... verum ubi plura nitent in carmine, non ego paucis offendar maculis, quas aut incuria fudit aut humana parum cavit natura.
xv. oldal - D'Apollon, qui me vint tout le cœur estonner: Où premier admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope, Quand sa main sur le front cent roses me jetta, Et de son propre laict Euterpe m'allaita.
145. oldal - Ma foy! les beaux habits servent bien à la mine. On a beau s'agencer et faire les doux yeux, Quand on est bien...
25. oldal - D'un langage flatteur luy parle et la courtise : Car ce fut de tout temps que, ployant sous l'effort, Le petit cède au grand, et le foible au plus fort.
ii. oldal - De ces maîtres savants disciple ingénieux, Régnier seul parmi nous formé sur leurs modèles, Dans son vieux style encore a des grâces nouvelles.
44. oldal - Censurant la jeunesse, use des droicts de père ; II corrige, il reprend, hargneux en ses façons, Et veut que tous ses mots soient autant de leçons.
82. oldal - C'est proser de la rime, et rimer de la prose, ) Que l'art lime et relime, et polit de façon Qu'elle rend à l'oreille...
259. oldal - Je suis plus fragile que verre. Je ne suis à tes yeux sinon Qu'un festu sans force et sans nom, Qu'un hibou qui n'ose paroistre, Qu'un fantosme icy bas errant, Qu'une orde escume de torrent, Qui semble fondre avant que naistre...
145. oldal - Quand on est bien parée on en est toujours mieux : Mais, sans avoir du bien, que sert la renommée ? C'est une vanité confusément semée Dans l'esprit des humains, un mal d'opinion, Un faux germe avorté dans notre affection.
140. oldal - Quand je suis à par moy, souvent je m'estudie (Tant que faire se peut) après la maladie Dont chacun est blessé : je pense à mon devoir, J'ouvre les yeux de l'âme, et m'efforce de voir • Au travers d'un chacun ; de l'esprit je m'escrime, Puis dessus le papier mes caprices je rime Dedans une satyre, où, d'un œil doux-amer, Tout le monde s'y voit et ne s'y sent nommer.