Bulletin de la Société Académique de Brest |
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... enfants qui , au mépris des dangers de toute sorte , ont été porter le flambeau de la civilisation . chez les nations les plus reculées et les plus barbares . Aujourd'hui encore , plusieurs de ses fils ajoutent à cette gloire par la ...
... enfants qui , au mépris des dangers de toute sorte , ont été porter le flambeau de la civilisation . chez les nations les plus reculées et les plus barbares . Aujourd'hui encore , plusieurs de ses fils ajoutent à cette gloire par la ...
7. oldal
... immenses pays , pareilles à celles que l'on met entre les mains des enfants pour les exercices élémentaires de géo- graphie , sont encore des cartes muettes . Là , dans ces espaces assombris par leur blancheur même , roulent de grands -7 .
... immenses pays , pareilles à celles que l'on met entre les mains des enfants pour les exercices élémentaires de géo- graphie , sont encore des cartes muettes . Là , dans ces espaces assombris par leur blancheur même , roulent de grands -7 .
63. oldal
... enfants dans leurs livres de contes . Le maintien fier de ces deux hommes , leur air grave et réservé , tout en eux se trouvait réuni pour imposer le respect . De haute taille , ces chefs avaient la tête ceinte d'un tavaa , sorte de ...
... enfants dans leurs livres de contes . Le maintien fier de ces deux hommes , leur air grave et réservé , tout en eux se trouvait réuni pour imposer le respect . De haute taille , ces chefs avaient la tête ceinte d'un tavaa , sorte de ...
84. oldal
... enfants , par M. Dordillon , évêque in partibus de Cambysopolis . Vackeu avait les mains merveilleusement tatouées , ainsi que presque toutes les parties de sa royale personne . Aussi se montrait - elle jadis avec orgueil aux étrangers ...
... enfants , par M. Dordillon , évêque in partibus de Cambysopolis . Vackeu avait les mains merveilleusement tatouées , ainsi que presque toutes les parties de sa royale personne . Aussi se montrait - elle jadis avec orgueil aux étrangers ...
87. oldal
... et à la ronde . Quelquefois les femmes et les enfants ne man- gent qu'après que les hommes se sont retirés . La popoï- ( 1 ) O'Taïti , G. Cuzent . ( 2 ) Voyage aux iles Gambier , G. CUZENT . má nous a paru être un aliment agréable ; il 87.
... et à la ronde . Quelquefois les femmes et les enfants ne man- gent qu'après que les hommes se sont retirés . La popoï- ( 1 ) O'Taïti , G. Cuzent . ( 2 ) Voyage aux iles Gambier , G. CUZENT . má nous a paru être un aliment agréable ; il 87.
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289. oldal - Sans herbe : s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée : et si j'eusse eu pour maître Un serpent , eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude ? Adieu : j'ai dit ce que je pense.
295. oldal - C'est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi : Ce n'est pas que je me pique De tous vos festins de Roi ; Mais rien ne vient m'interrompre Je mange tout à loisir. Adieu donc ; fi du plaisir Que la crainte peut corrompre.
307. oldal - J'attribuerais à l'animal, Non point une raison selon notre manière, Mais beaucoup plus aussi qu'un aveugle ressort : Je subtiliserais un morceau de matière, Que l'on ne pourrait plus concevoir sans effort, Quintessence d'atome, extrait de la lumière, Je ne sais quoi plus vif et plus mobile encor Que le...
291. oldal - L'arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents : Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était pas le seul bien qu'il sût faire : II courbait sous les fruits. Cependant, pour salaire, Un rustre l'abattait : c'était là son loyer, Quoique, pendant tout l'an, libéral...
270. oldal - Et quand ce serait un royaume, Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi En a pour toujours fait l'octroi A Jean, fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi. Jean lapin allégua la coutume et l'usage : Ce sont, dit-il, leurs lois qui m'ont de ce logis Rendu maître et seigneur ; et qui, de père en fils, L'ont de Pierre à Simon, puis à moi Jean, transmis.
274. oldal - Comme tu vas, bon Dieu! ne peux-tu marcher droit? — Et comme vous allez vous-même! dit la fille; Puis-je autrement marcher que ne fait ma famille? 14 10 Veut-on que j'aille droit, quand on y va tortu?
312. oldal - LE GLAND ET LA CITROUILLE Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve.
221. oldal - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé elle-mêtue, c'est le dévouement à la science.
311. oldal - Jupin pour chaque état mit deux tables au monde : L'adroit, le vigilant, et le fort, sont assis A la première ; et les petits Mangent leur reste à la seconde.
404. oldal - On vous parle beaucoup de vos victoires' avec une légèreté académique qui ferait croire qu'elles n'ont coûté à nos héros ni sang ni travaux : racontées avec moins de pompe, elles paraîtraient plus grandes. Ce n'est ni par des phrases de rhéteur, ni même par des exploits guerriers, que nous subjuguerons l'Europe, mais par la sagesse de nos lois, par la majesté de nos délibérations, et par la grandeur de nos caractères.