Œuvres nouvelles de Des Forges Maillard, 2. kötetSociété des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1902 |
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adresse amitié Amusemens du cœur Antoine Godeau avez avoient avoit belle Biblioth Bonamy Bretagne c'étoit canton de l'Isle-en-Dodon cher ami chose ci-dessus Clisson comédie contrôleur du dixième Croisic d'Orville Despréaux diférentes dire duc d'Aiguillon édit étoient étoit Euvres de 1759 faisoit FORGES MAILLARD François François Bonamy Fulvy goût Grallon Hallay homme imprimé J'ai l'honneur d'être J'aurois j'avois j'ay j'en j'étois jour Journal de Verdun l'abbé Philippe l'auteur l'édition l'Espine l'esprit l'ode Lettre autographe lion marin Lysippe m'avoit m'en madame Chevaye Mercure Mlle de Malcrais mois Monsieur et cher mont Parnasse Montaudouin Morinière mort Muses Nantes NOTES obéissant serviteur Parnasse paroît passer pense Perot pièce plaisir Poésies poëte pourroit premier président Bouhier président de Robien prince prose province Racan raison Recueil de poësies René Chevaye René Gentilhomme Sables d'Olonne Saint-Amant satirique sçais seroit sieur sonnets souhaite stile strophe Titon du Tillet très-cher ami trouve volume voudrois
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207. oldal - Ah! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. Il en rougit, le traître!
209. oldal - N'imitez pas ce fou, qui, décrivant les mers Et peignant, au milieu de leurs flots entr'ouverts, L'Hébreu sauvé du joug de ses injustes maîtres, Met, pour les voir passer, les poissons aux fenêtres,24 Peint le petit enfant qui va, saute, revient, «Et joyeux à sa mère offre un caillou qu'il tient.
137. oldal - De ceux qui les ont faits. Employons mieux le temps qui nous est limité ; Quittons ce fol espoir par qui la vanité Nous en fait tant accroire: Qu'amour soit désormais la fin de nos desirs; Car pour eux seulement les dieux ont fait la gloire , Et pour nous les plaisirs. Heureux qui...
137. oldal - Enterrent avec eux les noms et les devises De ceux qui les ont faits. Employons mieux le temps qui nous est limité ; Quittons ce fol espoir par qui la vanité Nous en fait tant accroire. Qu'amour soit désormais la fin de nos désirs, Car pour eux seulement les dieux ont fait la gloire, Et pour nous les plaisirs.
137. oldal - Bussy, notre printemps s'en va presque expiré; II est temps de jouir du repos assuré Où l'âge nous convie; Fuyons donc ces grandeurs qu'insensés nous suivons, Et, sans penser plus loin, jouissons de la vie Tandis que nous l'avons. Donnons quelque relâche à nos travaux passés; Ta valeur et mes vers ont eu du nom assez. Dans le siècle où nous sommes, II...
204. oldal - Жare vid it et fugit : jordanis conversus est retrorsum. .Montes exultaverunt ut arietes : et colles sicut agni ovium. Quid est tibi mare quod fugisti : et tu jordanis quia conversus es retrorsum. Jfbntes exultastis sicut arietes : et colles sicut agni ovium.
209. oldal - Là l'enfant éveillé, courant sous la licence Que permet à son âge une libre innocence, Va, revient, tourne, saute, et par maint cri joyeux Témoignant le plaisir que reçoivent ses yeux, D'un...
128. oldal - Tout ce qui nous reste de ces hommes immortels n'est point à négliger. On retrouve dans leurs moindres ouvrages les vestiges de la flamme divine dont ils étoient animés.
176. oldal - Tout ce que je puis me rappeler, touchant René, gentilhomme , c'est que j'ai eu en main un petit recueil d'environ cinquante feuillets in-12, contenant quelques pièces de poésie de ce Breton , qui y est qualifié de seigneur de L'Espine et de Kervaudoué. Mais ce que j'y trouvai de singulier, ce fut une pièce d'environ quarante vers que l'auteur affirme avoir faits sur-lechamp, à une maison de plaisance de M.
124. oldal - Monsieur mon très cher ami, votre très humble et très obéissant serviteur, DES FORGES MAILLARD.