Sans doute, lui disais-je, il n'ya point d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses grâces font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. Sur... Profils Anglais - 230. oldalszerző: Charles Augustin Sainte-Beuve - 1905 - 289 oldalTeljes nézet - Információ erről a könyvről
| ST. GILES OXFORD - 1788 - 636 oldal
...disois -je, il.xfya point « d'ami aussi agréable qu'une maîtresse « qui nous aime. Il ya de plus , dans la « femme , une gaieté légère qui dissipe « la tristesse de l'homme. Ses grâces « font évanouir les noirs phantômes de « la réflexion. Sur son visage , sont tes «doux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1797 - 464 oldal
...lui disais - je , il n'ya point d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus, dans la femme, une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses graces font évanouir les noirs phantômes de la réflexion. Sur son visage sont les doux attraits... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1803 - 194 oldal
...disois-je, "il n'ya point d'ami " aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. " II ya de plus, dans la femme, une gaieté légère " qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses grâces "font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. " Sur son visage, sont les doux attraits... | |
| Jacques Henri Bernardin de Saint Pierre - 1824 - 430 oldal
...lui disois-je, il n'ya point " d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui " nous aime. Il ya de plus dans la femme " une gaieté légère qui dissipe la tristesse " de l'homme. Ses graces font évanouir les " noirs fantômes de la réflexion. Sur son vi" sage sont les doux attraits... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1841 - 518 oldal
...plus redoutable encore que celle de l'homme. Bernardin se contente de dire délicieusement : <f 11 ya dans la femme une. gaieté légère « qui dissipe la tristesse de l'homme. » Quand Bernardin de Saint-Pierre se promenait avec Rousseau , comme il lui demandait un jour si Saint-Preux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 170 oldal
...disais-je, il n'ya point d'ami aussi , , agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus , dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse , de l'homme. Ses grâces font évanouir les noirs fantômes ,de la réflexion. Sur son visage sont les doux attraits... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1848 - 512 oldal
...lui disais-je, il n'ya point d'ami aussi agréable « qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus dans la femme « une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses « grâces font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. Sur « son visage sont les doux... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 386 oldal
...Elle justifiait bien par sa douce influence auprès de lui le mot de Bernardin de Saint-Pierre : « II ya dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. » Et ici à quelle tristesse elle avait affaire ! tristesse que René avait apportée du ventre de... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 540 oldal
...redoutable encore que celle de l'homme. Bernardin se contente de dire délicieusement : « II « y, a dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse « de l'homme. » Quand Bernardin de Saint-Pierre se promenait avec Rousseau, comme il lui demandait un jour si Saint-Preux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1852 - 194 oldal
...doute, lui disais-je, il n'ya point d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses grâco font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. Sur son visage sont les doux attraits... | |
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