...visites, etc. Je m'imagine que sa nation , qui est intrigante , ne demanderait pas mieux d'intervenir dans nos affaires, et ' de souffler le feu entre la...et ses colonies ; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. J'écris ceci en grande hâte , devant partir dans une heure pour un nouveau...

...visites, etc. Je rn'irna» gine que cette nation intrigante ne serait pas » fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler » le feu entre la Grande-Bretagne et ses colo» nies » Ah! si M. de Vergennes avait connu cette lettre! On n'aura pas de peine à croire que...

...français, lui témoignait de l'estime et cherchait à tirer de lui des renseignements sur les afl'aires d'Amérique, il se tenait sur la réserve: «Je m'imagine,...inconvénients, aux ridicules; il se voit l'objet, non-seulement de l'admiration , mais d'un engouement subit, et il ne s'y fait pas tout d'abord. Il...

...ministre plénipotentiaire français, lui témoignait de l'estime et cherchait à tirer de lui des renseignements sur les affaires d'Amérique, il se...solliciter la nation et le roi d'y prendre part et d'en profîter. Dans les premiers temps de son séjour, il est sensible aux inconvénients, aux ridicules...

...fait des visites, etc. Je me figure que cette nation intrigante voudrait se mêler de nos affaires et souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle...

...fait des visites, etc. Je me ligure que cette nntion intrigante voudrait se mêler de nos affaires cl souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle...

...fait des visites, etc. J'imagine que cette nation intrigante' ne serait pas fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler le feu entre la Grande-Bretagne...et ses colonies, mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. Je vous écris à la hâte, car je pars dans une heure pour un autre voyage,...

...à son fils : « J'imagine que cette uation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir. » M. de Vergennes entre au ministère. L'attitude calme et digne des Américains...

...ministre plénipotentiaire français, lui témoignait de l'estime et cherchait à tirer de lui des renseignements sur les affaires d'Amérique, il se...l'occasion. » L'occasion était toute produite et toute oiiverte dix ans après, et c'était Franklin qui venait lui-même solliciter la nation et le...

...fils j « J'imagine que cette nation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à soufflerie feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir (1). » La même année, il avail fait un séjour à Paris, où, déjà célèbre...