Histoire de pasteurs du désert, 1685-1789, 1. kötet

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190. oldal - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné...
54. oldal - ... épanchons nos cœurs sur la piété de Louis. Poussons jusqu'au ciel nos acclamations ; et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine. « Vous avez affermi la foi ; vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne ; c'en est le propre caractère. Par vous l'hérésie n'est plus : Dieu seul a pu faire cette merveille....
191. oldal - ... à leurs passions, ils peuvent tout : mais à force de tout pouvoir, ils sapent les fondements de leur puissance ; ils n'ont plus de règle certaine, ni de maximes de gouvernement ; chacun à l'envi les flatte ; ils n'ont plus de peuple ; il ne leur reste que des esclaves, dont le nombre diminue chaque jour.
130. oldal - Quel carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur, et le frère, Et la fille, et la mère, Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés, que de membres épars, Privés de sépulture ! Grand Dieu ! tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards.
132. oldal - Que de l'or le plus pur son autel soit paré, Et que du sein des monts le marbre soit tiré. Liban, dépouille-toi de tes cèdres antiques : Prêtres sacrés, préparez vos cantiques. UNE AUTRE. Dieu descend et revient habiter parmi nous : Terre, frémis d'allégresse et de crainte; Et vous, sous sa majesté sainte, Cieux, abaissez-vous.
53. oldal - Ne laissons pas cependant de publier ce miracle de nos jours; faisons-en passer le récit aux siècles futurs. Prenez vos plumes sacrées, vous qui composez les annales de l'Église : agiles instruments d'un prompt écrivain et d'une main diligente*, hâtez-vous de mettre Louis avec les Constantin et les Théodose.
190. oldal - JOAD. 0 mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas I vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs, la voix enchanteresse.
131. oldal - I ô champs aimés des cieux ! Sacrés monts, fertiles vallées Par cent miracles signalées ! Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées?
53. oldal - Touchés de tant de merveilles, épanchons nos cœurs sur la piété de Louis; poussons jusqu'au ciel nos acclamations et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine : Vous avez affermi la foi, vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne, c'en est le propre caractère.
146. oldal - C'est fait ! Certainement , Seigneur Dieu tout-puissant, tes jugements sont justes et véritables. Parce qu'ils ont répandu le sang des saints et des prophètes, tu leur as donné du sang à boire; ils en sont dignes! » (i) — «Dieu m'a exaucé! s'écria Jurieu dans la joie de sa découverte. La vérité éternelle m'a répondu ! » Et il publia son interprétation sous le titre de l'accomplissement des prophéties , ou la délivrance prochaine de f église.

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