Râmâyana, 8. kötet

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125. oldal - Lanka, capitale de l'Ile de Ceylan : « Les Rakshasas aux formidables exploits, brûlant d'obtenir une prompte victoire à leur maître, tous épouvantables comme les nuées, d'où jaillissent des éclairs, tous munis d'armes variées, sortaient donc pour le combat, remplissant les voûtes du ciel par de hautes, par d'immenses clameurs, et déchirant le sol de la terre sous les pieds des coursiers aux panaches d'or, sous la roue des chars, semblables au soleil et pavoises de drapeaux, tels que la...
166. oldal - ... ongles en suivent exactement la courbure. « Mes deux seins ne sont-ils pas égaux, potelés, séparés d'un intervalle? Leur mamelon apparaît-il en saillie? Mon ombilic ne plonge-t-il pas dans les muscles de mon giron? Mes deux flancs et mes deux hanches ne sont-ils pas l'un à l'autre pareils? « Ma couleur aimable est douce, dulcesque pili (1) ; ma voix sans rudesse parle toujours avec douceur.
166. oldal - ... d'un intervalle? Leur mamelon apparaît-il en saillie? Mon ombilic ne plonge-t-il pas dans les muscles de mon giron? Mes deux flancs et mes deux hanches ne sont-ils pas l'un à l'autre pareils? « Ma couleur aimable est douce, dulcesque pili (1) ; ma voix sans rudesse parle toujours avec douceur. « Mon sourire est candide ; je suis toujours avenante et jamais fâchée ; on dit que mon destin a pour base douze signes fortunés. « Mes mains et mes pieds sont, comme on le voit, entiers, pareils,...
188. oldal - L'eau de la mer est bouleversée, les montagnes sont ébranlées ; tous les arbres nés sur le rivage sont brisés, arrachés avec les racines et renversés de mille manières dans les ondes salées au seul vent des ailes de l'invincible oiseau. Les serpents...
166. oldal - ... des versets 80-86 du deuxième chapitre du Vendidad cités plus haut, pour achever de montrer quelle importance les anciens Aryas attachaient à la perfection des formes du corps humain et à sa complète symétrie. « Mes cheveux sont fins, lisses, noirs, dit Sitâ ; mes sourcils ne se rejoignent pas; mes cuisses rondes ne sont pas velues; il n'ya point de vide entre mes dents.
427. oldal - Alors tous les singes privés de la vie sortirent de la mort, comme on sort du sommeil à la fin de la nuit; et, poussant des cris de joie, ils se relevaient tout à coup, célébrant à l'envi ce glorieux fils du Vent...

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