Les Battuécas, 2. kötetChez Maradan ... et a Londres chez Colburn, 1817 |
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... yeux se remplirent de larmes , et se rencontrèrent ; dans се moment , une même pensée unissoit nos âmes et s'exprimoit dans nos regards ; nous allâmes nous prosterner devant l'autel , je tenois la main de donna Bianca qui pressoit ...
... yeux se remplirent de larmes , et se rencontrèrent ; dans се moment , une même pensée unissoit nos âmes et s'exprimoit dans nos regards ; nous allâmes nous prosterner devant l'autel , je tenois la main de donna Bianca qui pressoit ...
26. oldal
... yeux ; un instant après la porte s'ouvrit , et nous vîmes paraître donna Bianca tenant Inès par la main ! ... Inès étoit vêtue de blanc avec autant de grâce et d'élégance que de simplicité , donna Bianca l'avoit elle - même parée de ses ...
... yeux ; un instant après la porte s'ouvrit , et nous vîmes paraître donna Bianca tenant Inès par la main ! ... Inès étoit vêtue de blanc avec autant de grâce et d'élégance que de simplicité , donna Bianca l'avoit elle - même parée de ses ...
27. oldal
... yeux ... O ! madame , dit Inès en pleurant et en l'embrassant , je suis fàchée de vous quitter ! ... Je suis si touchée de votre bonté .... Inès , dis - je , c'est proster . nés que nous devons l'en remercier ! ... Et nous tombâmes à ...
... yeux ... O ! madame , dit Inès en pleurant et en l'embrassant , je suis fàchée de vous quitter ! ... Je suis si touchée de votre bonté .... Inès , dis - je , c'est proster . nés que nous devons l'en remercier ! ... Et nous tombâmes à ...
34. oldal
... voir ! .... Oui , dans dix ans ! reprit Placide , en poussant un profond sou- pir . Il cessa de parler et baissa les yeux . Adolphe saisit sa main qu'il pressa fortement dans les siennes ; ce mouvement fut si 34 LES BATTUÉCAS .
... voir ! .... Oui , dans dix ans ! reprit Placide , en poussant un profond sou- pir . Il cessa de parler et baissa les yeux . Adolphe saisit sa main qu'il pressa fortement dans les siennes ; ce mouvement fut si 34 LES BATTUÉCAS .
46. oldal
... ob- jet intéressant aux yeux du malheu- reux Placide . Une des plus grandes peines de Placide étoit la pensée qu'il devenoit chaque jour plus étranger aux intérêts qui occupoient la famille qui lui étoit si 46 LES BATTUĚCAŠ .
... ob- jet intéressant aux yeux du malheu- reux Placide . Une des plus grandes peines de Placide étoit la pensée qu'il devenoit chaque jour plus étranger aux intérêts qui occupoient la famille qui lui étoit si 46 LES BATTUĚCAŠ .
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adieu Adol Adolphe affreux aimer alloit âme amitié amou avoient avois avoit baron Battuécas Bayonne bonheur bras c'étoit cabane cacher chant charme château cher Placide cide ciel citronniers cœur connoissez consolation d'Adolphe d'Inès dernier sou devoit Dieu disant ces paroles dit-il dom Louis dom Pèdre donna Bianca douce douleur enfans enfant Espagne étoient eût faisoit fille fils fond de l'âme guitare heures imagination Inès Isabelle j'ai j'avois j'étois jamais jeune joie jours l'ermite larmes Léontine lettre de Caliste madame d'Auberive Madrid main malheureux marquis de Palmène matin Melvil ment mois n'avoit nable nuit paisible passé Pèdre pensée père Isidore Placide étoit pleurs poursuivit-il pouvoit quitta reconnoissance reprit reste reur reuse reux s'écria sais Salamanque sauver sembloit sentimens sentiment seroit seul silence soldats sort souvenir talens tence tendre tendresse Théophile tine tion trouva vallée venoit vieillard voix vouloit voyoit yeux