Souvenirs d'Italie, d'Angleterre et d'Amérique: suivis de Morceaux divers de morale et de littérature, 2. kötet

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H. Colburn, 1815 - 560 oldal
 

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136. oldal - Full many a gem of purest ray serene The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village- Hampden, that, with dauntless breast, The little tyrant of his fields withstood, Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless of his country's blood. Th...
20. oldal - Dégoûtées par leur siècle, effrayées par leur religion, elles sont restées dans le monde sans se livrer au monde : alors elles sont devenues la proie de mille chimères; alors on a vu naître cette coupable mélancolie qui s'engendre au milieu des passions, lorsque ces passions, sans objet, se consument d'elles-mêmes dans un cœur solitaire 1.
51. oldal - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
284. oldal - L'auteur du Génie du Christianisme, obligé de faire entrer dans le cadre de son apologie quelques tableaux pour l'imagination, a voulu dénoncer cette espèce de vice nouveau, et peindre les funestes conséquences de l'amour outré de la solitude.
188. oldal - Hélas ! ils croissoient presqu'à l'insu des pères, au milieu des discordes civiles , et ils sont absous par les malheurs publics , car tout leur a manqué : l'instruction , les remontrances , les bons exemples , et ces douceurs de...
76. oldal - Une comparaison.... dont l'extrèn)e exactitude prouverait toute seule une analogie parfaite entre les lois de notre être intelligent et celles de notre être physique. »' " Si je suis dans un lieu obscur, je n'ai pas la vision oculaire, ou >la connaissance par la vue de l'existence des corps qui sont près de moi, pas même de mon propre corps; et sous ce rapport, ces êtres sont à mon égard comme s'ils n'étaient pas. Mais si la lumière vient tout à coup à paraître, tous les objets en reçoivent...
165. oldal - D'où me vient le bonheur que la mère de mon « Sauveur vienne vers moi ? « Car, lorsque vous m'avez saluée, votre voix n'a « pas plus tôt frappé mon oreille , que mon enfant « a tressailli de joie dans mon sein. » Marie entonne alors le magnifique cantique : « 0 mon âme , glorifie le Seigneur ! » L'histoire de la crèche et des bergers vient ensuite.
143. oldal - Les déserts ont pris sous notre culte un caractère plus triste, plus vague, plus sublime : le dôme des forêts s'est exhaussé ; les fleuves ont brisé leurs petites urnes, pour ne plus verser que les eaux de l'abîme du sommet des montagnes : le vrai Dieu, en rentrant dans ses œuvres, a donné son immensité à la nature.
17. oldal - Nous ne sommes que d'hier, et nous « remplissons tout : vos cités, vos îles, vos forteresses, vos « camps, vos colonies, vos tribus, vos décuries, vos conseils, le « palais, le sénat, le forum ; - nous ne vous laissons que vos
169. oldal - Semblable à une épouse désolée, l'Église ne fait que gémir, et le chant de la tourterelle délaissée est dans sa bouche. Enfin elle est étrangère et comme errante sur la terre, où elle vient recueillir les enfants de Dieu sous ses ailes. Et le monde qui s'efforce de les lui ravir , ne cesse de traverser son pèlerinage.

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