Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,1. rész,2. kiadásLarousse, 1852 |
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19. oldal
... sort de la fange y rentre . Va trouver Tibère en son antre , Et Charles Neuf sur son balcon . Va ! sur ta pourpre il faut qu'on mette , Non les abeilles de l'Hymette , Mais l'essaim noir de Montfaucon ! » Et percez - le toutes ensemble ...
... sort de la fange y rentre . Va trouver Tibère en son antre , Et Charles Neuf sur son balcon . Va ! sur ta pourpre il faut qu'on mette , Non les abeilles de l'Hymette , Mais l'essaim noir de Montfaucon ! » Et percez - le toutes ensemble ...
20. oldal
... sort était las . O Waterloo ! je pleure et je m'arrête , hélas ! Car ces derniers soldats de la dernière guerre Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre , Chassé vingt rois , passé les Alpes et le Rhin , Et leur âme chantait ...
... sort était las . O Waterloo ! je pleure et je m'arrête , hélas ! Car ces derniers soldats de la dernière guerre Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre , Chassé vingt rois , passé les Alpes et le Rhin , Et leur âme chantait ...
22. oldal
... sort . J'ai lui sur le Sina , j'ai lui sur le Taygète ; Je suis le caillou d'or et de feu que Dieu jette , Comme avec une fronde au front noir de la nuit . - Je suis ce qui renaît quand un monde est détruit . ។ O nations ! je suis la ...
... sort . J'ai lui sur le Sina , j'ai lui sur le Taygète ; Je suis le caillou d'or et de feu que Dieu jette , Comme avec une fronde au front noir de la nuit . - Je suis ce qui renaît quand un monde est détruit . ។ O nations ! je suis la ...
27. oldal
... sort le lui retire . Rien ne lui fut donné , dans ses rapides jours , Pour qu'il s'en puisse faire une demeure , et dire : C'est ici ma maison , mon champ et mes amours ! Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient Il vieillit ...
... sort le lui retire . Rien ne lui fut donné , dans ses rapides jours , Pour qu'il s'en puisse faire une demeure , et dire : C'est ici ma maison , mon champ et mes amours ! Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient Il vieillit ...
48. oldal
... sort des jours changeants ; Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens , Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière . Donc Booz dans la nuit dormait parmi les siens ; Près des meules , qu'on eût prises pour des décombres ...
... sort des jours changeants ; Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens , Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière . Donc Booz dans la nuit dormait parmi les siens ; Près des meules , qu'on eût prises pour des décombres ...
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32. oldal - Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur? -O douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie!
24. oldal - JE suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie : Ma seule étoile est morte, — et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
16. oldal - Midi, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine : La terre est assoupie en sa robe de feu.
47. oldal - Comme un bœuf ayant soif penche son front vers l'eau." Ainsi parlait Booz dans le rêve et l'extase, Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ; Le cèdre ne sent pas une rose à sa base, Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.
25. oldal - Respecte dans la bête un esprit agissant : Chaque fleur est une âme à la Nature éclose ; Un mystère d'amour dans le métal repose ; ' Tout est sensible ! ' Et tout sur ton être est puissant.
28. oldal - Il faut que l'herbe pousse et que les enfants meurent ; Je le sais, ô mon Dieu ! Dans vos cieux, au delà de la sphère des nues, Au fond de cet azur immobile et dormant, Peut-être faites-vous des choses inconnues Où la douleur de l'homme entre comme élément.
75. oldal - A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçaient la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas, en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient...
27. oldal - ... eût la certitude Ni la joie ici-bas ! Dès qu'il possède un bien, le sort le lui retire. Rien ne lui fut donné, dans ses rapides jours, Pour qu'il s'en puisse faire une demeure, et dire : C'est ici ma maison, mon champ et mes amours ! Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient I l vieillit sans soutiens.
84. oldal - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
114. oldal - Ah ! tout cela, jeunesse, amour, joie et pensée, Chants de la mer et des forêts, souffles du ciel Emportant à plein vol l'Espérance insensée, Qu'est-ce que tout cela, qui n'est pas éternel...