Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,1. rész,2. kiadásLarousse, 1852 |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 19 találatból.
26. oldal
... , clément , indulgent et doux , ô Dieu vivant ! Je conviens que vous seul savez ce que vous faites , Et que l'homme n'est rien qu'un jonc qui tremble au vent ; Je dis que le tombeau qui sur les morts se VICTOR HUGO 1856.
... , clément , indulgent et doux , ô Dieu vivant ! Je conviens que vous seul savez ce que vous faites , Et que l'homme n'est rien qu'un jonc qui tremble au vent ; Je dis que le tombeau qui sur les morts se VICTOR HUGO 1856.
28. oldal
... doux comme une femme Je viens vous adorer ! Considérez encore que j'avais , dès l'aurore , Travaillé , combattu , pensé , marché , lutté , Expliquant la nature à l'homme qui l'ignore , Éclairant toute chose avec votre clarté ; Que j ...
... doux comme une femme Je viens vous adorer ! Considérez encore que j'avais , dès l'aurore , Travaillé , combattu , pensé , marché , lutté , Expliquant la nature à l'homme qui l'ignore , Éclairant toute chose avec votre clarté ; Que j ...
33. oldal
... doux ! que ton cœur m'était bon ! Nous avons dit souvent d'impérissables choses , Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon . Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! Que l'espace est profond ! que le cœur est puissant ...
... doux ! que ton cœur m'était bon ! Nous avons dit souvent d'impérissables choses , Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon . Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! Que l'espace est profond ! que le cœur est puissant ...
34. oldal
... doux , orgueil de la maison , Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires . Amis de la science et de la volupté , Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres ; L'Érèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres , S'ils ...
... doux , orgueil de la maison , Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires . Amis de la science et de la volupté , Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres ; L'Érèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres , S'ils ...
41. oldal
... ( 1852 ) , poème sur la Rome de l'antiquité ; on lui doit encore deux recueils : Festons et as- tragales ( 1858 ) , et Dernières Chansons , poésies posthumes ( 1870 ) . S'il fut sublime et doux , ce n'est point ton. 1858 L. BOUILHET1.
... ( 1852 ) , poème sur la Rome de l'antiquité ; on lui doit encore deux recueils : Festons et as- tragales ( 1858 ) , et Dernières Chansons , poésies posthumes ( 1870 ) . S'il fut sublime et doux , ce n'est point ton. 1858 L. BOUILHET1.
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
Abbé Prévost Abel HERMANT ailes aime Alexandre DUMAS père âme amour Anthologie des écrivains Barabbas Baudelaire Beau volume BERNAY BIBLIOTHÈQUE LAROUSSE blanc bois Booz bouquet bruit cartes en couleurs Chanson chant charme Chefs-d'œuvre ciel cieux cœur Coppée couchant cueilli d'or Dictionnaires Encyclopédiques Dictionnaires Larousse Dieu dormait doux éditeur enfants Euvres Fasquelle femme fleur flots frisson front GAUTIER GÉRARD DE NERVAL gravures photographiques héliogravures Henri GRAPPIN Heredia Histoire hors-texte en couleurs J'ai jour Jules Lemaître l'air l'âme l'homme l'ombre langue française Larousse Leconte de Lisle LIBRAIRES Littérature monde mort neige nuit obscur Œuvres choisies Pages choisies pâle parfums parnassiens passé Paul Arène pensée pieds planches en couleurs planches en noir pleurs poète publié regard Relié pleine toile rêve roses sang seul soir soleil sombre songe sonnet souffle Sully Prudhomme Théâtre tremble vent Victor Hugo vieux voix volume 12 vures XIX SIÈCLE POÉSIE XVIIIe siècle yeux
Népszerű szakaszok
32. oldal - Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur? -O douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie!
24. oldal - JE suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie : Ma seule étoile est morte, — et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie.
16. oldal - Midi, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine : La terre est assoupie en sa robe de feu.
47. oldal - Comme un bœuf ayant soif penche son front vers l'eau." Ainsi parlait Booz dans le rêve et l'extase, Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ; Le cèdre ne sent pas une rose à sa base, Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.
25. oldal - Respecte dans la bête un esprit agissant : Chaque fleur est une âme à la Nature éclose ; Un mystère d'amour dans le métal repose ; ' Tout est sensible ! ' Et tout sur ton être est puissant.
28. oldal - Il faut que l'herbe pousse et que les enfants meurent ; Je le sais, ô mon Dieu ! Dans vos cieux, au delà de la sphère des nues, Au fond de cet azur immobile et dormant, Peut-être faites-vous des choses inconnues Où la douleur de l'homme entre comme élément.
75. oldal - A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçaient la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas, en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient...
27. oldal - ... eût la certitude Ni la joie ici-bas ! Dès qu'il possède un bien, le sort le lui retire. Rien ne lui fut donné, dans ses rapides jours, Pour qu'il s'en puisse faire une demeure, et dire : C'est ici ma maison, mon champ et mes amours ! Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient I l vieillit sans soutiens.
84. oldal - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
114. oldal - Ah ! tout cela, jeunesse, amour, joie et pensée, Chants de la mer et des forêts, souffles du ciel Emportant à plein vol l'Espérance insensée, Qu'est-ce que tout cela, qui n'est pas éternel...