Philosophie du christianisme: correspondance religieuse de L. Bautain, 2. kötetDérivaux, 1835 - 502 oldal |
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
acte aimer âme amour Apôtres argumens Aristote aristotélique chair cher Eudore cher maître choses chrétienne Christ Christianisme Ciel ciples cœur connaître conscience conséquences corps créature céleste créature intelligente créature libre créé d'Aristote dégradation déisme Descartes devait développement Dieu doctrine dogme écoles élémens elle-même esprit éternelle existence forme gloire Grégoire IX humaine idée intel Israël j'ai Jésus Jésus-Christ justice l'âme l'amour l'Église l'esprit l'être l'Évangile l'homme l'humanité l'idée divine l'univers liberté loppement lui-même lumière ment métaphysique méthode Moïse monde morale mort mystère nécessaire panthéisme parole divine péché pensée Père philosophie Pierre Lombard posé pouvait principe puissance pure qu'une questions raison rapport réaction rédemption reste s'est sacré sagesse science science et conscience scolastique sens sentiment sera seul siècle sorte souf spéculation spirituelle sublime substance syllogisme syllogistique tence terre théisme théologie tion ture Verbe vérité vertu veut voilà volonté vouloir δὲ καὶ τὰ τὴν τὸν τοῦ
Népszerű szakaszok
463. oldal - En vérité, en vérité, je vous le dis : Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'aurez point la vie en vousmêmes. 54 Celui qui mange ma chair, et qui boit mon sang, a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
286. oldal - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. » C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
256. oldal - Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans lui.
293. oldal - Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères.
290. oldal - Seigneur et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force.
466. oldal - Jésus prit du pain , le bénit, le rompit , et le donna à ses disciples, en disant : Prenez et mangez ; ceci est mon corps.
445. oldal - Le Saint-Esprit surviendra en vous, et la vertu du Très-Haut vous couvrira de son ombre ; c'est pourquoi le fruit saint qui naîtra de vous sera appelé le Fils de Dieu.
209. oldal - Certainement rien ne nous heurte plus rudement que cette doctrine ; et cependant, sans ce mystère, le plus incompréhensible de tous, nous sommes incompréhensibles à nous-mêmes. Le nœud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme ; de sorte que l'homme est plus inconcevable sans ce mystère que ce mystère n'est inconcevable à l'homme.
462. oldal - C'est ici le pain qui est descendu du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 51 Je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel; si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
394. oldal - Dieu dit au serpent : Parce que tu as fait cela, tu es maudit entre tous les animaux et toutes les bêtes de la terre. Tu ramperas sur le ventre, et tu mangeras la terre tous les jours de ta vie.