Oeuvres de Boileau-Despréaux, 2. kötetJ. J. Blaise, 1821 |
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36. oldal
... poëme à part . C'est là que j'es- père rendre aux mânes de M. de Longueville [ a ] l'honneur que tous les écrivains lui doivent , et que je peindrai cette victoire qui fut arrosée du plus illustre sang de l'univers ; mais [ 6 ] il faut ...
... poëme à part . C'est là que j'es- père rendre aux mânes de M. de Longueville [ a ] l'honneur que tous les écrivains lui doivent , et que je peindrai cette victoire qui fut arrosée du plus illustre sang de l'univers ; mais [ 6 ] il faut ...
71. oldal
... poëme de l'Homme des champs n'étoit pas , à l'égard de Despréaux , exempt des préventions partagées trop généralement dans le dix- huitième siècle . Les deux satiriques avoient , sans contredit , un génie différent ; mais Delille semble ...
... poëme de l'Homme des champs n'étoit pas , à l'égard de Despréaux , exempt des préventions partagées trop généralement dans le dix- huitième siècle . Les deux satiriques avoient , sans contredit , un génie différent ; mais Delille semble ...
101. oldal
... poëme le tome Ier , page 14 , note c . ( 2 ) Childebrand et Charlemagne , poëmes qui n'ont point réussi . ( Despréaux , édition de 1713. ) * Jacques Carel de Sainte - Garde , con- seiller et aumônier du roi , né à Rouen vers 1620 , a ...
... poëme le tome Ier , page 14 , note c . ( 2 ) Childebrand et Charlemagne , poëmes qui n'ont point réussi . ( Despréaux , édition de 1713. ) * Jacques Carel de Sainte - Garde , con- seiller et aumônier du roi , né à Rouen vers 1620 , a ...
113. oldal
... Poëme de Coras . Voyez l'Esquisse en prose de la satire IX , tome I , page 213 , note 1 , et la satire IX , page 237 , note 1 . [ c ] Poëme de Carel de Sainte - Garde . Voyez l'épitre VIII , p . 101 , note 2 , ainsi que l'Art Poétique ...
... Poëme de Coras . Voyez l'Esquisse en prose de la satire IX , tome I , page 213 , note 1 , et la satire IX , page 237 , note 1 . [ c ] Poëme de Carel de Sainte - Garde . Voyez l'épitre VIII , p . 101 , note 2 , ainsi que l'Art Poétique ...
120. oldal
... poëme de Charlemagne . ( Despréaux , édit . de 1683. ) Voy . sur Le Laboureur , qui en est l'auteur , l'épître VIII , page 101 , note 2 . ( 2 ) Fameux valet - de - pied de monseigneur le Prince . ( Despréaux , édit . de 1683 . ) * Quand ...
... poëme de Charlemagne . ( Despréaux , édit . de 1683. ) Voy . sur Le Laboureur , qui en est l'auteur , l'épître VIII , page 101 , note 2 . ( 2 ) Fameux valet - de - pied de monseigneur le Prince . ( Despréaux , édit . de 1683 . ) * Quand ...
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æthere Arnauld auroit auteur avoit Boileau Bolæana Brontin Brossette Brun CASSAIGNE chanoine chant Chapelain Charles Perrault Childebrand cœur Corneille Cours de littérature critique Daunou déja Delille dernier Despréaux devoit Dieu dire discours disoit dit-il écrit éditeurs édition de 1713 éditions antérieures éditions avouées Éléments de littérature Énéide épigramme épître esprit étoient étoit faisoit fameux foible grace Harpe hémistiche héros heureux Horace jamais Jean Racine Jean-Baptiste Rousseau jour l'abbé l'académie françoise l'amour l'Art Poétique l'auteur l'édition l'éloge l'Énéide l'épigramme l'épître Lamoignon latin lecteur lettre long-temps Louis Racine Louis XIV Lutrin Marmontel Molière mort mourut muse n'avoit n'étoit note b ouvrage par-tout parcequ'il parceque parle paroît Perrault pièce plaisant poëme poésie poëte portrait pouvoit Pradon préaux prélat premier président quæ quelquefois raison rime Rousseau saint Saint-Marc Sainte-Chapelle satire scène seroit seul sonnet style suivant sujet Térence tragédie trouve Virgile Voltaire Voyez yeux
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182. oldal - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
573. oldal - Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes ; Et ce choix sert de preuve à tous les courtisans Qu'ils savent mal payer les services présents.
183. oldal - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. En vain vous me frappez d'un son mélodieux. Si le terme est impropre ou le tour vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
223. oldal - Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées . Sur la scène en un jour renferme des années. Là souvent le héros d'un spectacle grossier, Enfant au premier acte, est barbon au dernier. Mais nous, que la raison à ses règles engage, Nous voulons qu'avec art l'action se ménage : Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
241. oldal - Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre...
196. oldal - Je hais ces vains auteurs dont la muse forcée M'entretient de ses feux, toujours froide et glacée: Qui s'affligent par art; et, fous de sens rassis, S'érigent, pour rimer, en amoureux transis. Leurs transports les plus doux ne sont que phrases vaines...
87. oldal - L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir.
89. oldal - Moi-même, dont la gloire ici moins répandue Des pâles envieux ne blesse point la vue, Mais qu'une humeur trop libre, un esprit peu soumis, De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
239. oldal - C'est un droit qu'à la porte on achète en entrant. Il faut qu'en cent façons, pour plaire, il se replie, Que tantôt il s'élève et tantôt s'humilie; Qu'en nobles sentiments il soit partout fécond , Qu'il soit aisé, solide, agréable, profond, Que de traits surprenants sans cesse il nous réveille; Qu'il coure dans ses vers de merveille en merveille; Et que tout ce qu'il dit, facile à retenir, De son ouvrage en nous laisse un long souvenir.
221. oldal - En vain vous étalez une scène savante : Vos froids raisonnements ne feront qu'attiédir Un spectateur, toujours paresseux d'applaudir, Et qui, des vains efforts de votre rhétorique Justement fatigué, s'endort ou vous critique. Le secret est d'abord de plaire et de toucher : Inventez des ressorts qui puissent m'attacher.