The Claims of French Poetry: Nine Studies in the Greater French Poets, 75. kötetA. Constable, Limited, 1907 - 313 oldal |
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The Claims of French Poetry: Nine Studies in the Greater French Poets John C. Bailey Nincs elérhető előnézet - 2014 |
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267. oldal - And as, year after year, Fresh products of their barren labour fall From their tired hands, and rest Never yet comes more near, Gloom settles slowly down over their breast ; And while they try to...
269. oldal - Calm soul of all things ! make it mine To feel, amid the city's jar, That there abides a peace of thine, Man did not make, and cannot mar. The will to neither strive nor cry, The power to feel with others give ! Calm, calm me more! nor let me die Before I have begun to live.
266. oldal - At this vessel's prow I stand, which bears me Forwards, forwards, o'er the starlit sea. And a look of passionate desire O'er the sea and to the stars I send: 'Ye who from my childhood up have calm'd me, Calm me, ah, compose me to the end! 'Ah, once more...
34. oldal - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père ; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
133. oldal - Mes amis, dit le solitaire. Les choses d'ici-bas ne me regardent plus : En quoi peut un pauvre reclus Vous assister? que peut-il faire Que de prier le ciel qu'il vous aide en ceci? J'espère qu'il aura de vous quelque souci.
125. oldal - La cigale , ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine , La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai , lui dit-elle , Avant l'eût ', foi d'animal, Intérêt et principal.
214. oldal - Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres, Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux; "Maintenant que je suis sous les branches des arbres, Et que je puis songer à la beauté des cieux ; Maintenant que du deuil qui m'a fait l'âme obscure Je sors, pâle et vainqueur, Et que je sens la paix de...
135. oldal - Avaient altérée ; et mes peines Ont pour but son plaisir ainsi que son besoin. Enfin, me voilà vieille ; il me laisse en un coin Sans herbe : s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée : et si j'eusse eu pour maître Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude? Adieu : j'ai dit ce que je pense.
89. oldal - Par les ombres myrteux je prendray mon repos : Vous serez au fouyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.
220. oldal - The melodies of birds and bees, The murmuring of summer seas, And pattering rain, and breathing dew, And airs of evening ; and it knew That seldom-heard mysterious sound, Which, driven on its diurnal round, As it floats through boundless day, Our world enkindles on its way.