du cri des animaux qui m'aurait fait lâcher prise si je l'eusse connue plutôt. Si d'une part il s'est glissé dans mon poëme, aux yeux de certaines personnes, trop de plaisanterie, je m'appuierai de ces vers de Boileau: fine Ce n'est pas quelquefois qu'une muse un peu Si de l'autre, malgré les soins que j'ai donnés depuis, huit ans à mon ouvrage, il m'est échappé des incorrections, je rappellerai ce précepte de M. le cardinal de Bernis dans son Epitre sur le Goût. En aiguisant, en limant de trop près, FIN DES NOTES. |