Répertoire de la littérature ancienne et moderne, 4. kötetChez Castel de Courval, 1824 |
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15. oldal
... Puissé - je , hélas ! au doux bruit de leur onde , Finir mes jours , ainsi que mes revers ! Ce petit coin de l'univers Rit plus à mes regards que le reste du monde . 5 1 L'olive , le citron , la noix chère BERTIN . 15.
... Puissé - je , hélas ! au doux bruit de leur onde , Finir mes jours , ainsi que mes revers ! Ce petit coin de l'univers Rit plus à mes regards que le reste du monde . 5 1 L'olive , le citron , la noix chère BERTIN . 15.
20. oldal
... puisse comparer à ces endroits - là . Au reste , tout se sou- tient dans l'Écriture , tout y garde le caractère qu'il doit avoir , l'histoire , le détail des lois , les descrip- tions , les endroits véhéments , les mystères , les dis ...
... puisse comparer à ces endroits - là . Au reste , tout se sou- tient dans l'Écriture , tout y garde le caractère qu'il doit avoir , l'histoire , le détail des lois , les descrip- tions , les endroits véhéments , les mystères , les dis ...
37. oldal
... puisse com- parer à la vivacité du reproche que fait ici le pro- phète aux riches de son temps , qui , perdant de vue la loi de Dieu , laquelle avait assigné à chaque par- ticulier une portion de la terre promise avec dé- fense de l ...
... puisse com- parer à la vivacité du reproche que fait ici le pro- phète aux riches de son temps , qui , perdant de vue la loi de Dieu , laquelle avait assigné à chaque par- ticulier une portion de la terre promise avec dé- fense de l ...
65. oldal
... puisse parvenir un mortel , et tout le monde fléchissait le genou devant lui , à l'exception du seul Mardochée . a Mais , dit - il en confidence à ses amis , en leur « ouvrant son cœur , quoique j'aie tous ces avan- * Flebat igitur ...
... puisse parvenir un mortel , et tout le monde fléchissait le genou devant lui , à l'exception du seul Mardochée . a Mais , dit - il en confidence à ses amis , en leur « ouvrant son cœur , quoique j'aie tous ces avan- * Flebat igitur ...
105. oldal
... puisse citer ici que de mémoire , n'ayant point le livre sous les yeux , et obligé souvent de travailler sans livres . C'est mon excuse , quand mes ci- tations ne seront pas tout - à - fait exactes dans les mots ; mais je garantis les ...
... puisse citer ici que de mémoire , n'ayant point le livre sous les yeux , et obligé souvent de travailler sans livres . C'est mon excuse , quand mes ci- tations ne seront pas tout - à - fait exactes dans les mots ; mais je garantis les ...
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283. oldal - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
200. oldal - Quand Platon peint son juste imaginaire, couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
280. oldal - L'enfant que le Seigneur aime , Qui de bonne heure entend sa voix , Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
284. oldal - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés , Et porte sur le front une marque immortelle.? Peuples de la terre , chantez. Jérusalem renaît...
201. oldal - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
295. oldal - L'homme en sa propre force a mis sa confiance ; Ivre de ses grandeurs et de son opulence , L'éclat de sa fortune enfle sa vanité. Mais , ô moment terrible , ô jour épouvantable , Où la mort saisira ce fortuné coupable , Tout chargé des liens de son iniquité ! Que deviendront alors , répondez , grands du monde , Que deviendront ces biens où votre espoir se fonde , Et dont vous étalez l'orgueilleuse moisson?
283. oldal - Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son Oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est au printemps la fraîcheur du matin. JOAD Cieux, écoutez ma voix. Terre, prête l'oreille. Ne dis plus, ô Jacob, que ton Seigneur sommeille. Pécheurs, disparaissez, le Seigneur se réveille. Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé?
284. oldal - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
291. oldal - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!
54. oldal - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. Une Autre. J'ai vu l'impie adoré sur la terre : Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux ; Il semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.