Répertoire de la littérature ancienne et moderne, 4. kötetChez Castel de Courval, 1824 |
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... grace et mon supplice : Jugez lequel des deux mon cœur a mérité : Car ma fidèle amour , ou ma témérité Veut qu'on me récompense , ou bien qu'on me punisse . Mais si vous ne portez un cœur de diamant , Vous ne punirez point un misérable ...
... grace et mon supplice : Jugez lequel des deux mon cœur a mérité : Car ma fidèle amour , ou ma témérité Veut qu'on me récompense , ou bien qu'on me punisse . Mais si vous ne portez un cœur de diamant , Vous ne punirez point un misérable ...
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... Parnasse français . On se plaît à re- connaître dans Bertin une imagination riche , une sensibilité vraie . La nature de son talent l'a fait com- parer à Properce , dont il a la grace et BERTIN . 5 On ne se souvient du mal, ...
... Parnasse français . On se plaît à re- connaître dans Bertin une imagination riche , une sensibilité vraie . La nature de son talent l'a fait com- parer à Properce , dont il a la grace et BERTIN . 5 On ne se souvient du mal, ...
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parer à Properce , dont il a la grace et la chaleur . Compatriote de Parny , Bertin fut son ami intime ; cette liaison , qui fut constante , honore également deux poètes qui ont suivi la même carrière : au reste , Bertin s'est peint lui ...
parer à Properce , dont il a la grace et la chaleur . Compatriote de Parny , Bertin fut son ami intime ; cette liaison , qui fut constante , honore également deux poètes qui ont suivi la même carrière : au reste , Bertin s'est peint lui ...
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... grace ; il en devint un très heureux imitateur ; il ne put devenir leur rival : il s'approcha quelquefois de Properce ; il demeura toujours très loin de Tibulle : c'est montrer la distance qui le sé- pare de M. de Parny . Son nom se ...
... grace ; il en devint un très heureux imitateur ; il ne put devenir leur rival : il s'approcha quelquefois de Properce ; il demeura toujours très loin de Tibulle : c'est montrer la distance qui le sé- pare de M. de Parny . Son nom se ...
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... grace moelleuse , de cet abandon aimable qui convient particulièrement à l'élégie érotique , et qui règne dans les poésies de Colardeau et de Parny . Moins gracieux que le premier , et moins tendre que le second , son style est plus ...
... grace moelleuse , de cet abandon aimable qui convient particulièrement à l'élégie érotique , et qui règne dans les poésies de Colardeau et de Parny . Moins gracieux que le premier , et moins tendre que le second , son style est plus ...
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283. oldal - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
200. oldal - Quand Platon peint son juste imaginaire, couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
280. oldal - L'enfant que le Seigneur aime , Qui de bonne heure entend sa voix , Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
284. oldal - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés , Et porte sur le front une marque immortelle.? Peuples de la terre , chantez. Jérusalem renaît...
201. oldal - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
295. oldal - L'homme en sa propre force a mis sa confiance ; Ivre de ses grandeurs et de son opulence , L'éclat de sa fortune enfle sa vanité. Mais , ô moment terrible , ô jour épouvantable , Où la mort saisira ce fortuné coupable , Tout chargé des liens de son iniquité ! Que deviendront alors , répondez , grands du monde , Que deviendront ces biens où votre espoir se fonde , Et dont vous étalez l'orgueilleuse moisson?
283. oldal - Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son Oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est au printemps la fraîcheur du matin. JOAD Cieux, écoutez ma voix. Terre, prête l'oreille. Ne dis plus, ô Jacob, que ton Seigneur sommeille. Pécheurs, disparaissez, le Seigneur se réveille. Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé?
284. oldal - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
291. oldal - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!
54. oldal - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. Une Autre. J'ai vu l'impie adoré sur la terre : Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux ; Il semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.