Répertoire de la littérature ancienne et moderne, 4. kötetChez Castel de Courval, 1824 |
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... colère divine a fait écouler ses jours comme une eau fugitive ! Mais il s'abaisse sous la main qui le frappe ; il respecte le secret de l'Éternel . Naïve innocence des premiers âges ! tendres et généreux sentiments ! vous venez aussi ...
... colère divine a fait écouler ses jours comme une eau fugitive ! Mais il s'abaisse sous la main qui le frappe ; il respecte le secret de l'Éternel . Naïve innocence des premiers âges ! tendres et généreux sentiments ! vous venez aussi ...
43. oldal
... colère . « Malheur vous , dit - il ailleurs , qui bâtissez vos maisons < « < du sang du peuple ! la pierre criera contre vous « du milieu de la muraille ; et le bois qui sert à lier « le bâtiment rendra témoignage contre vous ** . On ...
... colère . « Malheur vous , dit - il ailleurs , qui bâtissez vos maisons < « < du sang du peuple ! la pierre criera contre vous « du milieu de la muraille ; et le bois qui sert à lier « le bâtiment rendra témoignage contre vous ** . On ...
46. oldal
... colère de Dieu , comme des flots suspendus sur « < ma tête , et je n'en ai pu supporter le poids * . » Semper quasi tumentes super me fluctus timui Deum , et pondus ejus ferre non potui . Job . XXXI , 23 . Quelle idée de la colère de ...
... colère de Dieu , comme des flots suspendus sur « < ma tête , et je n'en ai pu supporter le poids * . » Semper quasi tumentes super me fluctus timui Deum , et pondus ejus ferre non potui . Job . XXXI , 23 . Quelle idée de la colère de ...
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Quelle idée de la colère de Dieu ! des flots qui en- gloutissent tout , un poids qui accable et qui brise . Iram Domini portabo ( Mich . VII , 9 ) . Comment la pourrons - nous porter pendant toute l'éternité ? La magnificence de Dieu à ...
Quelle idée de la colère de Dieu ! des flots qui en- gloutissent tout , un poids qui accable et qui brise . Iram Domini portabo ( Mich . VII , 9 ) . Comment la pourrons - nous porter pendant toute l'éternité ? La magnificence de Dieu à ...
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La conjonction répétée ici plusieurs fois marque comme autant de coups redoublés de la colère de Dieu . « < Babylone est tombée ; elle est tombée , cette grande ville qui a fait boire à toutes les nations , « le vin empoisonné de sa ...
La conjonction répétée ici plusieurs fois marque comme autant de coups redoublés de la colère de Dieu . « < Babylone est tombée ; elle est tombée , cette grande ville qui a fait boire à toutes les nations , « le vin empoisonné de sa ...
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Népszerű szakaszok
283. oldal - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
200. oldal - Quand Platon peint son juste imaginaire, couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
280. oldal - L'enfant que le Seigneur aime , Qui de bonne heure entend sa voix , Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
284. oldal - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés , Et porte sur le front une marque immortelle.? Peuples de la terre , chantez. Jérusalem renaît...
201. oldal - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
295. oldal - L'homme en sa propre force a mis sa confiance ; Ivre de ses grandeurs et de son opulence , L'éclat de sa fortune enfle sa vanité. Mais , ô moment terrible , ô jour épouvantable , Où la mort saisira ce fortuné coupable , Tout chargé des liens de son iniquité ! Que deviendront alors , répondez , grands du monde , Que deviendront ces biens où votre espoir se fonde , Et dont vous étalez l'orgueilleuse moisson?
283. oldal - Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son Oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est au printemps la fraîcheur du matin. JOAD Cieux, écoutez ma voix. Terre, prête l'oreille. Ne dis plus, ô Jacob, que ton Seigneur sommeille. Pécheurs, disparaissez, le Seigneur se réveille. Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé?
284. oldal - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
291. oldal - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!
54. oldal - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. Une Autre. J'ai vu l'impie adoré sur la terre : Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux ; Il semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.