| Alfred Delvau - 1865 - 158 oldal
...transforme en marié de l'autre siècle. Sylvie l'attend sur l'escalier : ils descendent tous deux en se tenant par la main. « La tante poussa un cri en se retournant. —i- O mes enfants ! dît-elle, et elle se mit à pleurer, puis sourh a travers ses larmes. C'était... | |
| Johann Wolfgang von Goethe - 1868 - 442 oldal
...elle-même, elle me montra les habits de noces du garde-chasse réunis sur la commode. En un instant,je me transformai en marié de l'autre siècle. Sylvie...l'image de sa jeunesse, cruelle et charmante apparition! Nous nous assîmes auprès d'elle, attendris et presque graves; puis la gaieté nous revint bientôt,... | |
| Gérard de Nerval - 1914 - 514 oldal
...sur l'escalier, et nous descendîmes tous deux en nous tenant par la main. La tante poussa un soupir en se retournant : — O mes enfants ! dit-elle, et...de sa jeunesse, — cruelle et charmante apparition ! Nous nous assîmes auprès d'elle, attendris et presque graves, puis la gaieté nous revint bientôt,... | |
| Geoffrey Chaucer - 1924 - 350 oldal
...nous descendîmes tous deux en nous tenant par la main. La tante poussa un cri en se retournant : « 0 mes enfants ! » dit-elle, et elle se mit à pleurer,...de sa jeunesse, — cruelle et charmante apparition ! Nous nous assîmes auprès d'elle, attendris et presque graves, puis la gaieté nous revint bientôt,... | |
| Jean Boucoiran - 1933 - 128 oldal
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| Gérard de Nerval - 1944 - 116 oldal
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| Diego Valeri - 1959 - 664 oldal
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| Gérard de Nerval - 1960 - 1578 oldal
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| André Lagarde - 1960 - 658 oldal
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| Raymond Jean - 1974 - 444 oldal
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