Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,2. rész,2. kiadásLarousse, 1900 |
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22. oldal
... lumière . Plus François Ier déclina , moins il fut propre aux femmes , plus il fut amoureux des arts . On sait son mot à Cellini : « Je t'étoufferai dans l'or . » Et , quand la petite galerie lui fut ouverte par Rosso , quand il se vit ...
... lumière . Plus François Ier déclina , moins il fut propre aux femmes , plus il fut amoureux des arts . On sait son mot à Cellini : « Je t'étoufferai dans l'or . » Et , quand la petite galerie lui fut ouverte par Rosso , quand il se vit ...
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... lumière plus vive , qui borde le con- tour des terrasses , aide à distinguer les unes des autres toutes ces constructions de boue , amoncelées plutôt que bâties sur leurs trois collines . Une Tribu en voyage dans le Sahara , Ain - Mahdy ...
... lumière plus vive , qui borde le con- tour des terrasses , aide à distinguer les unes des autres toutes ces constructions de boue , amoncelées plutôt que bâties sur leurs trois collines . Une Tribu en voyage dans le Sahara , Ain - Mahdy ...
41. oldal
... terre . Jean Valjean était descendu dans une de ces songeries - là . Il pensait à Cosette , au bonheur possible si rien ne se mettait entre elle et lui , à cette lumière dont elle remplissait sa vie , lumière qui 1862 41 VICTOR HUGO --
... terre . Jean Valjean était descendu dans une de ces songeries - là . Il pensait à Cosette , au bonheur possible si rien ne se mettait entre elle et lui , à cette lumière dont elle remplissait sa vie , lumière qui 1862 41 VICTOR HUGO --
42. oldal
cette lumière dont elle remplissait sa vie , lumière qui était la respiration de son âme . Il était presque heureux dans cette rêverie . Cosette , debout près de lui , regardait les nuages devenir roses . Tout à coup , Cosette s'écria ...
cette lumière dont elle remplissait sa vie , lumière qui était la respiration de son âme . Il était presque heureux dans cette rêverie . Cosette , debout près de lui , regardait les nuages devenir roses . Tout à coup , Cosette s'écria ...
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... lumière . La troupe d'escorte mau- gréait , les enchaînés ne soufflaient pas ; de temps en temps on entendait le bruit d'un coup de bâton sur les omoplates ou sur les têtes ; quelques - uns de ces hommes bâillaient ; les haillons ...
... lumière . La troupe d'escorte mau- gréait , les enchaînés ne soufflaient pas ; de temps en temps on entendait le bruit d'un coup de bâton sur les omoplates ou sur les têtes ; quelques - uns de ces hommes bâillaient ; les haillons ...
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121. oldal - vérité. Tout n'est ici-bas que symbole et que songe. Les dieux passent comme les hommes, et il ne serait pas bon qu'ils fussent éternels. La foi qu'on a eue ne doit jamais être une chaîne. On est quitte envers elle quand on l'a soigneusement roulée dans le linceul de pourpre où dorment les dieux morts.
121. oldal - les disciples de l'ennui. Le monde est plus grand que tu ne crois. Si tu avais vu les neiges du pôle et les mystères du ciel austral, ton front, ô déesse toujours calme, ne serait pas si serein ; ta tête, plus large, embrasserait divers genres de beauté. Tu es vraie, pure, parfaite ; ton
39. oldal - Alors on vit un spectacle formidable. Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonne par division, descendit d'un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d'un bélier de bronze qui ouvre une brèche, la colline de la BelleAlliance, s'enfonça dans le fond redoutable où tant d'hommes déjà étaient tombés, y
37. oldal - et sa faiblesse, les efforts de ses ennemis ne prévalent point contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment attendu donne tout à coup un signe d'existence, l'instinct national le devine et l'appelle, les obstacles s'aplanissent devant lui, et tout un peuple volant sur son passage
118. oldal - barbares, qui s'imaginent qu'on peut faire quelque chose de bien en dehors des règles que tu as tracées à tes inspirés, ô Raison. Mais ces temples me plaisaient ; je n'avais pas étudié ton art divin ; j'y trouvais Dieu. On y chantait des cantiques dont je me souviens encore :
38. oldal - entre la chaussée de Genappe et Frischemont, et prendre leur place de bataille dans cette puissante deuxième ligne, si savamment composée par Napoléon, laquelle, ayant à son extrémité de gauche les cuirassiers de Kellermann et à son extrémité de droite les cuirassiers de Milhaud, avait, pour ainsi dire, deux ailes de fer.
120. oldal - la paix est ton but, ô Pacifique, Législatrice, source des constitutions justes ; Démocratie, toi dont le dogme fondamental est que tout bien vient du peuple, et que, partout où il n'ya pas de peuple pour nourrir et inspirer le génie, il n'ya rien, apprendsnous à extraire le diamant des
94. oldal - Tartarin de Tarascon (1872), Contes du lundi (1873), Fromont jeune et Risler aîné (1874), Jack (1876), le Nabab (1877), les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), l'Evangéliste (1883), Sapho (1884), Tartarin sur les Alpes (1885), l'Immortel (1888), Port-Tarascon (1890), la Petite Paroisse (1895), Soutien de famille (1898).
89. oldal - Tout ce qu'on y blâme d'exagéré, vous me l'avez fait ressentir,» dit Frédéric. « Je comprends Werther, que ne dégoûtent pas les tartines de Charlotte. » — « Pauvre cher ami ! » Elle soupira ; et, après un long silence : — « N'importe, nous nous serons bien aimés. » — « Sans nous appartenir pourtant ! » , — « Cela vaut peut-être mieux, » reprit-elle. — « Non ! non ! Quel bonheur nous aurions eu
12. oldal - me transformai en marié de l'autre siècle. Sylvie m'attendait sur l'escalier, et nous descendîmes tous deux en nous tenant par la main. La tante poussa un cri en se retournant : « O mes enfants ! » dit-elle, et elle se mit à pleurer, puis sourit à travers ses larmes. — C'était l'image de sa jeunesse, — cruelle et charmante apparition