Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,2. rész,2. kiadásLarousse, 1900 |
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... jardin de quelques poignées de cerises et de groseilles , elle disposa deux vases de fleurs aux deux bouts de la nappe . Mais la tante avait dit ces belles paroles : « Tout cela , ce n'est pas du dessert . Il faut me laisser faire à ...
... jardin de quelques poignées de cerises et de groseilles , elle disposa deux vases de fleurs aux deux bouts de la nappe . Mais la tante avait dit ces belles paroles : « Tout cela , ce n'est pas du dessert . Il faut me laisser faire à ...
14. oldal
... jardins touffus , des plaines vertes coupées de précipices où les sources filtrent dans la glaise , détachant peu à ... jardin du restaurant Gaucher , avec ses kiosques , ses lanternes et ses statues peintes . La plaine Saint - Denis a ...
... jardins touffus , des plaines vertes coupées de précipices où les sources filtrent dans la glaise , détachant peu à ... jardin du restaurant Gaucher , avec ses kiosques , ses lanternes et ses statues peintes . La plaine Saint - Denis a ...
31. oldal
... jardins . A l'heure où j'arrive , un peu après le lever du soleil , j'y trouve une sentinelle indigène , encore endormie et cou- chée contre le pied de la tour . Presque aussitôt on vient la relever , car ce poste n'est gardé que la ...
... jardins . A l'heure où j'arrive , un peu après le lever du soleil , j'y trouve une sentinelle indigène , encore endormie et cou- chée contre le pied de la tour . Presque aussitôt on vient la relever , car ce poste n'est gardé que la ...
49. oldal
... jardins faisaient des masses plus sombres dans l'obscurité ; et au bas de Malqua , des filets de pêcheurs s'étendaient d'une maison à l'autre , comme de gigantesques chauves - souris déployant leurs ailes . On n'entendait plus le ...
... jardins faisaient des masses plus sombres dans l'obscurité ; et au bas de Malqua , des filets de pêcheurs s'étendaient d'une maison à l'autre , comme de gigantesques chauves - souris déployant leurs ailes . On n'entendait plus le ...
60. oldal
... jardins et à des constructions parasites , champignons poussés au pied de l'ancien édifice . Sur le quai , des ponceaux arrondissaient leurs arcades ... jardin , les arbres du cours la Reine , promenade favorite des 60 1863 -- TH . GAUTIER.
... jardins et à des constructions parasites , champignons poussés au pied de l'ancien édifice . Sur le quai , des ponceaux arrondissaient leurs arcades ... jardin , les arbres du cours la Reine , promenade favorite des 60 1863 -- TH . GAUTIER.
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12 hors-texte 900 gravures Abbé Prévost attrayante BERGET Bibliothèque Larousse C'était cartes en couleurs cartes en noir cartes et plans cartes ou dessins Chaval Chefs-d'œuvre chevaux cheveux chose ciel Claude AUGÉ CLERC-RAMPAL cœur Collection in-4 Contes CONTES DU LUNDI coup devant Dictionnaire illustré docteur ès sciences éditeur Étienne Eugène Fasquelle Euvres femme fleurs française illustrée François Ier GÉRARD DE NERVAL Gilliatt gravures photogra gravures photographiques héliogravures Histoire hommes hors-texte en couleurs hors-texte en noir humain jardin Jean Valjean Joiselle jour l'air Littérature main maison Maxime PETIT Mémento monde Montsou mort Œuvres choisies pages 20 panthère passé Paul Bourget pieds pieuvre planches en couleurs planches en noir poésie prospectus spécimen publiée regard Relié pleine toile roman saint Salammbô seul soleil Sylvie Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon terre tête Théâtre choisi VENTE Vermillon voiture volume 15 vures XIX SIÈCLE XIX SIÈCLE PROSE XVIIIe siècle yeux
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121. oldal - vérité. Tout n'est ici-bas que symbole et que songe. Les dieux passent comme les hommes, et il ne serait pas bon qu'ils fussent éternels. La foi qu'on a eue ne doit jamais être une chaîne. On est quitte envers elle quand on l'a soigneusement roulée dans le linceul de pourpre où dorment les dieux morts.
121. oldal - les disciples de l'ennui. Le monde est plus grand que tu ne crois. Si tu avais vu les neiges du pôle et les mystères du ciel austral, ton front, ô déesse toujours calme, ne serait pas si serein ; ta tête, plus large, embrasserait divers genres de beauté. Tu es vraie, pure, parfaite ; ton
39. oldal - Alors on vit un spectacle formidable. Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonne par division, descendit d'un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d'un bélier de bronze qui ouvre une brèche, la colline de la BelleAlliance, s'enfonça dans le fond redoutable où tant d'hommes déjà étaient tombés, y
37. oldal - et sa faiblesse, les efforts de ses ennemis ne prévalent point contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment attendu donne tout à coup un signe d'existence, l'instinct national le devine et l'appelle, les obstacles s'aplanissent devant lui, et tout un peuple volant sur son passage
118. oldal - barbares, qui s'imaginent qu'on peut faire quelque chose de bien en dehors des règles que tu as tracées à tes inspirés, ô Raison. Mais ces temples me plaisaient ; je n'avais pas étudié ton art divin ; j'y trouvais Dieu. On y chantait des cantiques dont je me souviens encore :
38. oldal - entre la chaussée de Genappe et Frischemont, et prendre leur place de bataille dans cette puissante deuxième ligne, si savamment composée par Napoléon, laquelle, ayant à son extrémité de gauche les cuirassiers de Kellermann et à son extrémité de droite les cuirassiers de Milhaud, avait, pour ainsi dire, deux ailes de fer.
120. oldal - la paix est ton but, ô Pacifique, Législatrice, source des constitutions justes ; Démocratie, toi dont le dogme fondamental est que tout bien vient du peuple, et que, partout où il n'ya pas de peuple pour nourrir et inspirer le génie, il n'ya rien, apprendsnous à extraire le diamant des
94. oldal - Tartarin de Tarascon (1872), Contes du lundi (1873), Fromont jeune et Risler aîné (1874), Jack (1876), le Nabab (1877), les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), l'Evangéliste (1883), Sapho (1884), Tartarin sur les Alpes (1885), l'Immortel (1888), Port-Tarascon (1890), la Petite Paroisse (1895), Soutien de famille (1898).
89. oldal - Tout ce qu'on y blâme d'exagéré, vous me l'avez fait ressentir,» dit Frédéric. « Je comprends Werther, que ne dégoûtent pas les tartines de Charlotte. » — « Pauvre cher ami ! » Elle soupira ; et, après un long silence : — « N'importe, nous nous serons bien aimés. » — « Sans nous appartenir pourtant ! » , — « Cela vaut peut-être mieux, » reprit-elle. — « Non ! non ! Quel bonheur nous aurions eu
12. oldal - me transformai en marié de l'autre siècle. Sylvie m'attendait sur l'escalier, et nous descendîmes tous deux en nous tenant par la main. La tante poussa un cri en se retournant : « O mes enfants ! » dit-elle, et elle se mit à pleurer, puis sourit à travers ses larmes. — C'était l'image de sa jeunesse, — cruelle et charmante apparition