Anthologie des écrivains français ..., 4. kötet,2. rész,2. kiadásLarousse, 1900 |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 20 találatból.
5. oldal
... fils d'un concierge - tailleur de la rue Taitbout . Il fut quelque temps secrétaire du comte Tolstoï , puis mena dans une mansarde du Quartier latin cette vie de misère qu'il devait si bien décrire dans les Scènes de la vie de bohème ...
... fils d'un concierge - tailleur de la rue Taitbout . Il fut quelque temps secrétaire du comte Tolstoï , puis mena dans une mansarde du Quartier latin cette vie de misère qu'il devait si bien décrire dans les Scènes de la vie de bohème ...
17. oldal
... fils ; tu portes le même manteau , le même sceptre , la même couronne , et si la croix ne t'attend plus , c'est que tu n'as pas cessé d'y être attaché . 2 XIX SIÈCLE ( PROSE ) - II . Le Jeu . PAR delà toute substance créée , dans 1855 ...
... fils ; tu portes le même manteau , le même sceptre , la même couronne , et si la croix ne t'attend plus , c'est que tu n'as pas cessé d'y être attaché . 2 XIX SIÈCLE ( PROSE ) - II . Le Jeu . PAR delà toute substance créée , dans 1855 ...
24. oldal
... Fils d'un chi- rurgien en chef de l'Hôtel - Dieu de Rouen , et d'une Normande de vieille souche , il commença des études de droit qu'il abandonna pour la littérature . Il écri- vit d'abord , en collaboration avec Maxime Du Camp , un ...
... Fils d'un chi- rurgien en chef de l'Hôtel - Dieu de Rouen , et d'une Normande de vieille souche , il commença des études de droit qu'il abandonna pour la littérature . Il écri- vit d'abord , en collaboration avec Maxime Du Camp , un ...
34. oldal
... fils , le petit Ali fit un mouvement pour se jeter à terre et courir se prosterner devant eux mais le lieutenant lui posa la main sur l'épaule ; l'enfant étonné comprit et ne bougea pas . Pendant ce temps je regardai ce jeune cavalier à ...
... fils , le petit Ali fit un mouvement pour se jeter à terre et courir se prosterner devant eux mais le lieutenant lui posa la main sur l'épaule ; l'enfant étonné comprit et ne bougea pas . Pendant ce temps je regardai ce jeune cavalier à ...
50. oldal
... fils de pourpre . Elle releva la tête pour contempler la lune , et , mêlant à ses paroles des fragments d'hymne , elle murmura : ― « Que tu tournes légèrement , soutenue par l'éther impal- pable ! Il se polit autour de toi , et c'est le ...
... fils de pourpre . Elle releva la tête pour contempler la lune , et , mêlant à ses paroles des fragments d'hymne , elle murmura : ― « Que tu tournes légèrement , soutenue par l'éther impal- pable ! Il se polit autour de toi , et c'est le ...
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
12 hors-texte 900 gravures Abbé Prévost attrayante BERGET Bibliothèque Larousse C'était cartes en couleurs cartes en noir cartes et plans cartes ou dessins Chaval Chefs-d'œuvre chevaux cheveux chose ciel Claude AUGÉ CLERC-RAMPAL cœur Collection in-4 Contes CONTES DU LUNDI coup devant Dictionnaire illustré docteur ès sciences éditeur Étienne Eugène Fasquelle Euvres femme fleurs française illustrée François Ier GÉRARD DE NERVAL Gilliatt gravures photogra gravures photographiques héliogravures Histoire hommes hors-texte en couleurs hors-texte en noir humain jardin Jean Valjean Joiselle jour l'air Littérature main maison Maxime PETIT Mémento monde Montsou mort Œuvres choisies pages 20 panthère passé Paul Bourget pieds pieuvre planches en couleurs planches en noir poésie prospectus spécimen publiée regard Relié pleine toile roman saint Salammbô seul soleil Sylvie Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon terre tête Théâtre choisi VENTE Vermillon voiture volume 15 vures XIX SIÈCLE XIX SIÈCLE PROSE XVIIIe siècle yeux
Népszerű szakaszok
121. oldal - vérité. Tout n'est ici-bas que symbole et que songe. Les dieux passent comme les hommes, et il ne serait pas bon qu'ils fussent éternels. La foi qu'on a eue ne doit jamais être une chaîne. On est quitte envers elle quand on l'a soigneusement roulée dans le linceul de pourpre où dorment les dieux morts.
121. oldal - les disciples de l'ennui. Le monde est plus grand que tu ne crois. Si tu avais vu les neiges du pôle et les mystères du ciel austral, ton front, ô déesse toujours calme, ne serait pas si serein ; ta tête, plus large, embrasserait divers genres de beauté. Tu es vraie, pure, parfaite ; ton
39. oldal - Alors on vit un spectacle formidable. Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonne par division, descendit d'un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d'un bélier de bronze qui ouvre une brèche, la colline de la BelleAlliance, s'enfonça dans le fond redoutable où tant d'hommes déjà étaient tombés, y
37. oldal - et sa faiblesse, les efforts de ses ennemis ne prévalent point contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment attendu donne tout à coup un signe d'existence, l'instinct national le devine et l'appelle, les obstacles s'aplanissent devant lui, et tout un peuple volant sur son passage
118. oldal - barbares, qui s'imaginent qu'on peut faire quelque chose de bien en dehors des règles que tu as tracées à tes inspirés, ô Raison. Mais ces temples me plaisaient ; je n'avais pas étudié ton art divin ; j'y trouvais Dieu. On y chantait des cantiques dont je me souviens encore :
38. oldal - entre la chaussée de Genappe et Frischemont, et prendre leur place de bataille dans cette puissante deuxième ligne, si savamment composée par Napoléon, laquelle, ayant à son extrémité de gauche les cuirassiers de Kellermann et à son extrémité de droite les cuirassiers de Milhaud, avait, pour ainsi dire, deux ailes de fer.
120. oldal - la paix est ton but, ô Pacifique, Législatrice, source des constitutions justes ; Démocratie, toi dont le dogme fondamental est que tout bien vient du peuple, et que, partout où il n'ya pas de peuple pour nourrir et inspirer le génie, il n'ya rien, apprendsnous à extraire le diamant des
94. oldal - Tartarin de Tarascon (1872), Contes du lundi (1873), Fromont jeune et Risler aîné (1874), Jack (1876), le Nabab (1877), les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881), l'Evangéliste (1883), Sapho (1884), Tartarin sur les Alpes (1885), l'Immortel (1888), Port-Tarascon (1890), la Petite Paroisse (1895), Soutien de famille (1898).
89. oldal - Tout ce qu'on y blâme d'exagéré, vous me l'avez fait ressentir,» dit Frédéric. « Je comprends Werther, que ne dégoûtent pas les tartines de Charlotte. » — « Pauvre cher ami ! » Elle soupira ; et, après un long silence : — « N'importe, nous nous serons bien aimés. » — « Sans nous appartenir pourtant ! » , — « Cela vaut peut-être mieux, » reprit-elle. — « Non ! non ! Quel bonheur nous aurions eu
12. oldal - me transformai en marié de l'autre siècle. Sylvie m'attendait sur l'escalier, et nous descendîmes tous deux en nous tenant par la main. La tante poussa un cri en se retournant : « O mes enfants ! » dit-elle, et elle se mit à pleurer, puis sourit à travers ses larmes. — C'était l'image de sa jeunesse, — cruelle et charmante apparition