Lexique comparé de la langue de Corneille et de la langue du XVIIe siècle en général, 2. kötetDidier et cie., 1862 |
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
1re éd adjectif Agés âme amour Androm assez avoit beau Boss BOURD chose pour sujet Cinna Clit cœur CORN Corneille emploie Dieu dire Disc dispenser dix-septième siècle donner elzév encens esprit étoit Exam exemples franç gloire haine Henri Henri IV Héracl Hist homme hymen Ibid Imil Imit j'ai jour l'amour L'Illus laisser langue LARIV latin Lett locution madame MALH manière analogue Méd Mél Mém mettre miss Molière mort Nicom nom de chose parler PASQ passé passions pensée père Perth Pierre Corneille pluriel poëte Polyeucte Pomp prendre préposition prince Pulch qu'un RACAN raison rien Rodog Rodogune s'employait Sanche sang seigneur seizième sens sentiments Serm seroit Sert Sertorius seul signifier solécisme Sophon sort souvent style subst substantif Suite du Ment suivi d'un infinitif Théod Thomas Corneille Tite et Bér Tois tragédie trouve Vaugelas verbe Veuve Voltaire yeux
Népszerű szakaszok
84. oldal - est ton origine : arrête et considère Que tu portes le fer dans le sein de ta mère. Tourne ailleurs les efforts de tes bras triomphants, Sa joie éclatera dans l'heur de ses enfants; Et, se laissant ravir à l'amour maternelle, Ses vœux seront pour toi, si tu n'es plus contre elle.
103. oldal - J'aime mieux qu'on me reproche d'avoir fait mes femmes trop héroïnes, par une ignorante et basse affectation de les faire ressembler aux originaux qui en sont venus jusqu'à nous, que de m'entendre louer d'avoir efféminé mes héros, par une docte et sublime complaisance au goût de nos délicats, qui veulent de l'amour partout, et ne permettent
152. oldal - Le style n'en est pas si fort ni si majestueux que celui de Cinna et de Pompée, mais il a quelque chose de plus touchant, et les tendresses de l'amour humain y font un si agréable mélange avec la fermeté du divin, que sa représentation a satisfait tout ensemble les dévots et les gens du monde.
164. oldal - Le pays délivré d'un si rude ennemi, Mon sceptre dans ma main par la tienne affermi, Et les Maures défaits, avant qu'en ces alarmes J'eusse pu donner ordre à repousser leurs armes, Ne sont point des exploits qui laissent à ton roi Le moyen ni l'espoir de s'acquitter
21. oldal - nous ne savions point que tout ce qui est en nous de réel et de vrai vient d'un être parfait et infini, pour claires et distinctes que fussent nos idées, nous n'aurions aucune raison qui nous assurât qu'elles eussent la perfection d'être vraies. (DESCARTES,
158. oldal - et d'Achille, Par un noble attentat sur Homère et Virgile , Soit qu'il faille obscurcir par un dernier effort Ceux que j'ai sur la scène affranchis de la mort; Tu me verras le même. Et comme ami je le prie et conjure S'il veut ternir un ouvrage immortel, Qu'il fasse mieux.
151. oldal - 3.) Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine; Combien en a versé la défaite d'Antoine, Combien celle de Sexte, et revois tout d'un temps Pérouse au sien noyée, et tous ses habitants.
158. oldal - valeur n'a point lieu de te désavouer; Tu l'as bien imitée, et ton illustre audace Fait bien revivre en toi les héros de ma race. C'est d'eux que tu descends, c'est de moi que tu viens, Ton premier coup d'épée égale tous les miens.
350. oldal - Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine, Combien en a versé la défaite d'Antoine, Combien celle de Sexte ; et revois tout d'un temps Pérouse au sien noyée, et tous ses habitants.
303. oldal - Car vous aimez la gloire, et vous savez qu'un roi Ne vous en peut jamais assurer tant que moi : II est plus en ma main qu'en celle d'un monarque De vous faire égaler l'amante de Pétrarque ; Et mieux que tous les rois je puis faire douter De sa Laure, ou de vous, qui le doit emporter.