Oeuvres complètes de Boileau ..., 1. kötetL. Hachette et cie, 1867 - 314 oldal |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 57 találatból.
3. oldal
... sujet ; l'une , que les éditions placent la première , contre les vices de Paris ; l'autre , que les éditions placent la sixième , contre les embarras de Paris . Furetière fut le premier qui vit cette satire , en fourrageant parmi les ...
... sujet ; l'une , que les éditions placent la première , contre les vices de Paris ; l'autre , que les éditions placent la sixième , contre les embarras de Paris . Furetière fut le premier qui vit cette satire , en fourrageant parmi les ...
13. oldal
... sujet avec cette facilité et cette liberté d'allure , sans tomber dans le style bas et dans l'impiété . Les quatre premiers chants sont ravissants , même pour nous , qui ne sommes plus , comme les contemporains de Boileau , de justes ...
... sujet avec cette facilité et cette liberté d'allure , sans tomber dans le style bas et dans l'impiété . Les quatre premiers chants sont ravissants , même pour nous , qui ne sommes plus , comme les contemporains de Boileau , de justes ...
25. oldal
... la main : il demeure au fond tant qu'on l'y retient ; mais bientôt la main venant à se lasser , il se relève et gagne le dessus . Je pourrois dire un nombre infini de pareilles choses sur ce sujet , et ce seroit la PRÉFACES . 25.
... la main : il demeure au fond tant qu'on l'y retient ; mais bientôt la main venant à se lasser , il se relève et gagne le dessus . Je pourrois dire un nombre infini de pareilles choses sur ce sujet , et ce seroit la PRÉFACES . 25.
26. oldal
Nicolas Boileau Despréaux. pareilles choses sur ce sujet , et ce seroit la matière d'un gros livre ; mais en voilà assez , ce me semble , pour marquer au public ma re- connoissance et la bonne idée que j'ai de son goût et de ses jugemens ...
Nicolas Boileau Despréaux. pareilles choses sur ce sujet , et ce seroit la matière d'un gros livre ; mais en voilà assez , ce me semble , pour marquer au public ma re- connoissance et la bonne idée que j'ai de son goût et de ses jugemens ...
27. oldal
... sujet de la traduction de mon Art poétique faite par lui en vers portugais , qu'il a eu la bonté de m'envoyer de Lisbonne , avec une lettre et des vers françois de sa composition , où il me donne des louanges très - délicates , et ...
... sujet de la traduction de mon Art poétique faite par lui en vers portugais , qu'il a eu la bonté de m'envoyer de Lisbonne , avec une lettre et des vers françois de sa composition , où il me donne des louanges très - délicates , et ...
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
æthere affreux aisément Alcippe âme Apollon Arnauld assez auteur avoit beau bientôt Boileau Brontin CASSAIGNE censeurs chanoine chanter Chapelain Charles Perrault charme chose ciel cœur Cotin Despréaux Dieu dire discours docteur doux écrits édition encens Énéide enfin épître esprit étoit faisoit fameux faux femmes foible folle fureur gloire héros Homère homme j'ai jamais jour Juvénal l'Académie françoise l'amour l'auteur l'École des Femmes l'Énéide l'honneur laisse Lamoignon lecteur lieux livre Louis Louis XIV lutrin main médisance mille Molière monde mots muse n'étoit Nicolas Boileau noble ouvrage parler Parnasse passer pensée Perrault Pindare plaisir plaisirs de l'enfer plein plume poëme poésie poëte Pradon préface prélat public qu'en qu'un quelquefois Quinault Racine raison ridicule rien rime sage saint Sainte-Chapelle sais sait satire sauroit sens seroit SERRE seul soin sonnet sort souvent style sujet triste trouve vains vante vertu veut veux vices Virgile visage voit yeux zèle
Népszerű szakaszok
193. oldal - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée. Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n'osa plus enjamber.
192. oldal - N'offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire. Ayez pour la cadence une oreille sévère ; Que toujours dans vos vers le sens coupant les mots Suspende l'hémistiche, en marque le repos.
62. oldal - Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-Neuf tout est calme et tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville.
194. oldal - Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
66. oldal - De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air , Qui marchent sur la terre , ou nagent dans la mer , De Paris au Pérou , du Japon jusqu'à Rome , Le plus sot animal , à mon avis , c'est l'homme.
270. oldal - Oui, j'ai dit dans mes vers qu'un célèbre assassin, Laissant de Galien la science infertile, D'ignorant médecin devint maçon habile. Mais de parler de vous je n'eus jamais dessein, Lubin; ma muse est trop correcte. Vous êtes, je l'avoue, ignorant médecin, Mais non pas habile architecte.
83. oldal - Et ne savez-vous pas que, sur ce mont sacré, Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré, Et qu'à moins d'être au rang d'Horace ou de Voiture, On rampe dans la fange avec l'abbé de Pure...
202. oldal - En vain vous étalez une scène savante : Vos froids raisonnements ne feront qu'attiédir Un spectateur toujours paresseux d'applaudir, Et qui, des vains efforts de votre rhétorique Justement fatigué, s'endort, ou vous critique. Le secret est d'abord de plaire et de toucher : Inventez des ressorts qui puissent m'attacher.
207. oldal - Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : L'avare, des premiers, rit du tableau fidèle D'un avare souvent tracé sur son modèle ; Et mille fois un fat finement exprimé Méconnut le portrait sur lui-même formé.
191. oldal - Voulez-vous du public mériter les amours ? Sans cesse en écrivant variez vos discours. Un style trop égal et toujours uniforme En vain brille à nos yeux, il faut qu'il nous endorme.