 | P. F. Henry - 1801 - 1012 oldal
...Bonaparte An v. . avoit dit : • • « Soldais ! je sais que vous êtes profondé» ment aflectés des malheurs qui menacent la » patrie. Mais la patrie ne peut courir de dan» gors réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait » triompher de l'Europe coalisée , «ont là.... | |
 | Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - 1803 - 374 oldal
...gouvernement français ; qu'où ÎUÀ a\oit dit: « La patrie que vous dé» fendez ne peut courir des dangers réels : les » mêmes hommes qui l'ont fait...montagnes nous » séparent de la France ; vous les franchirez avec » la rapidité de l'aigle... Les royalistes, dès » l'instant qu'ils se montreront,... | |
 | Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - 1803 - 366 oldal
...dé» fendez ne peut courir des dangers réels : les » mêmes hommes qui l'ont fait triompher de v». l'Europe coalisée sont là : des montagnes nous » séparent de la France ; vous les franchirez avec » la rapidité de l'aigle. . . Les royalistes , dès » l'instant qu'ils se montreront,... | |
 | François Emmanuel vicomte de Toulongeon - 1810 - 434 oldal
...je sais que vous « êtes profondément affectés des malheurs qui « menacent la Patrie... Mais ia Patrie ne peut « courir de dangers réels. Les mêmes...montagnes nous séparent de la « France; vous les franchiriez avec la rapit<'dité de l'aiglej s'i' le fallait, pour maintenir « la constitution, défendre... | |
 | François Emmanuel vicomte de Toulongeon - 1810 - 428 oldal
...« menacent la P.atrie... Mais la Patrie ne peut « courir de dangers réels. Les mêmes hommes e< qui l'ont fait triompher de l'Europe co'alisée «...montagnes nous séparent de la « France; vous les franchiriez avec la rapiK dite de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir « la constitution, défendre... | |
 | Antoine Siméon Gabriel Coffinières - 1814 - 562 oldal
...reçu un nouvel éclat par vos victoires. » Soldats , je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie...Des montagnes nous séparent de la France : vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle , s'il le fallait , pour maintenir la constitution , défendre... | |
 | Jacques Barthélemy Salgues - 1814 - 684 oldal
...vivement » affectés des malheurs qui menacent la patrie; M mais la patrie ne peut courir de dangers >l réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait » triompher...montagnes nous séparent de la France ; vous » les franchiriez avec la rapidité de l'aigle . s'il 578 » le falloit pour maintenir la constitution ,... | |
 | Jacques Barthélemy Salgues - 1814 - 694 oldal
...reçu un » nouvel éclat par vos victoires. » Soldats , je sais que vous êtes vivement » affectés des malheurs qui menacent la patrie ; » mais la patrie ne peut courir de danger* » réels. Les mêmes hommes qui l'ont (ait » triompher de l'Europe coalisée, sont là. l)i>... | |
 | France - 1816 - 422 oldal
...victoires. Soldats ! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrieé Mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les...Des montagnes nous séparent de la France : vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le falloit, pour maintenir la constitution, défendre... | |
 | 1816 - 956 oldal
...reçu un nouvel éclat par vos victoires. Soldats ! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie, Mais la patrie...réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de Arrivé à la i3" , qui formait la garnison du château de Vérone : Braves soldats , leur dit-il,... | |
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Soldats! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée , sont là. Des montagnes nous séparent de... 
