La vie de Saint François de Sales...écrite par un curé du diocèse de VerdunBerche et Tralin, 1898 |
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139. oldal - Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger ; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire ; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli ; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu ; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.
581. oldal - A l'honneur de la très-sainte et indivisible Trinité, pour l'exaltation de la foi catholique et l'accroissement de la religion chrétienne , par l'autorité de...
413. oldal - IL FAUT TOUT FAIRE PAR AMOUR ET RIEN PAR FORCE. IL FAUT PLUS AIMER L'OBÉISSANCE QUE CRAINDRE LA DÉSOBÉISSANCE.
436. oldal - J'ai donc pensé, ma chère mère, si vous en êtes d'accord, qu'il nous faut prendre pour armes un unique cœur percé de deux flèches, enfermé dans une couronne d'épines; ce pauvre cœur servant dans l'enclavure à une croix qui le surmontera, et sera gravé des sacrés noms de Jésus et de Marie.
272. oldal - Pour cela, mes très chers frères, je vous conjure de vaquer très sérieusement à l'étude ; car la science à un prêtre, c'est le huitième sacrement de la hiérarchie de l'Église, et son plus grand malheur est arrivé de ce que l'arche s'est trouvée, en d'autres mains que celles des lévites : c'est par là que notre misérable Genève nous a surpris (1).
340. oldal - C'est un petit miracle que Dieu fait; car tous les soirs quand je me retire, je ne puis remuer ni mon corps ni mon esprit , tant je suis las partout, et le matin je suis plus gai que jamais.
357. oldal - Pas un seul mot d'impatience, pas un seul clin d'œil d'inquiétude; mille bénédictions à Dieu, et mille résignations en son vouloir. Jamais je ne vis une douleur plus tranquille : tant de larmes que merveille ; mais tout cela par de simples attendrissements de cœur, sans aucune sorte de fierté : c'était pourtant son cher enfant.
436. oldal - Dieu m?a donné cette nuit la pensée que notre maison de la Visitation est, par sa grâce, assez noble et assez considérable pour avoir ses armes, son blason, sa devise et son cri d'armes.
326. oldal - Ma chair en frémit, mais mon cœur les adore. Oui, je vous » salue, petites et grandes croix, spirituelles ou temporelles, » intérieures ou extérieures : je vous salue et baise votre pied, » indigne de l'honneur de votre ombre.
459. oldal - Je n'ai presque point de désirs; mais, si j'étois à renaître, je n'en aurois point du tout. Si Dieu venoit à moi, j'irois aussi à lui; s'il ne voulait pas venir à moi, je me tiendrois là et n'irois pas à lui.