Textes classiques de la littérature française: extraits des grands écrivains français avec notices biographiques et bibliographiques, appŕeciations littéraires et notes explicatives, 1. kötetHachette et cie, 1884 |
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36. oldal
... cruelle sentence . Tou- tefois il l'endura vertueusement et toutes autres choses jusques à la mort , et plus que nul homme , que jamais j'aye veu mourir . 1. Saint François de Paule . en cette circonstance . ― - 2. Séparé , dispersé . 3 ...
... cruelle sentence . Tou- tefois il l'endura vertueusement et toutes autres choses jusques à la mort , et plus que nul homme , que jamais j'aye veu mourir . 1. Saint François de Paule . en cette circonstance . ― - 2. Séparé , dispersé . 3 ...
57. oldal
... cruelle qu'elle est se bouche les oreilles , Et nous laisse crier . Le pauvre en sa cabane , où le chaume le couvre , Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois . De murmurer contre ...
... cruelle qu'elle est se bouche les oreilles , Et nous laisse crier . Le pauvre en sa cabane , où le chaume le couvre , Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois . De murmurer contre ...
74. oldal
... cruelle mort de celuy de qui vous teniez tout ce que vous et vos prédécesseurs aviez de bien , d'honneur et d'authorité ; et non content de ces communes allégresses , qui témoignoient assez combien vous approuviez ce malheureux acte ...
... cruelle mort de celuy de qui vous teniez tout ce que vous et vos prédécesseurs aviez de bien , d'honneur et d'authorité ; et non content de ces communes allégresses , qui témoignoient assez combien vous approuviez ce malheureux acte ...
98. oldal
... 'intérêt que je te porte , mais la part que tu as dans mon malheur , le rôle que tu as joué dans la cruelle aven- ture qui m'a ravi mon père . PIERRE CORNEILLE Si quelque autre malheur m'avait ravi mon père 98 DIX - SEPTIÈME SIÈCLE.
... 'intérêt que je te porte , mais la part que tu as dans mon malheur , le rôle que tu as joué dans la cruelle aven- ture qui m'a ravi mon père . PIERRE CORNEILLE Si quelque autre malheur m'avait ravi mon père 98 DIX - SEPTIÈME SIÈCLE.
160. oldal
... Oreste , en acceptant cette cruelle ambassade , a l'intention secrète d'enlever à Pyrrhus , non le fils d'Hector , mais la fille de Ménélas , indignée des lenteurs d'un hymen promis et différé , indignée de rencon- 160 DIX - SEPTIÈME ...
... Oreste , en acceptant cette cruelle ambassade , a l'intention secrète d'enlever à Pyrrhus , non le fils d'Hector , mais la fille de Ménélas , indignée des lenteurs d'un hymen promis et différé , indignée de rencon- 160 DIX - SEPTIÈME ...
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ABNER AGAMEMNON ALCESTE amour assez ATHALIE avez avoit beau BÉLISE Boileau Bossuet Britannicus Burrhus Calchas CÉLIMÈNE CHICANNEAU CHIMÈNE chose CHRYSALE ciel Cinna CLYTEMNESTRE cœur Corneille coup crime cruelle DEMOGEOT DIÈGUE Dieu dieux dire discours donne douleur édition enfin ennemis esprit Fénelon fille fils FLÈCHE François Ier frère gens gloire goût Grecs guerre HARPAGON HERMIONE héros homme HORACE j'ai jamais JOAD JOSABET jour laisse lois Louis Louis XIV madame main MAÎTRE JACQUES malheureux Minos Molière monde monsieur mort mourir NARCISSE NÉARQUE NÉRON NICOMÈDE ORESTE ORGON ORONTE parler passé passion pensée père peuple PHILAMINTE PHILINTE Philoctète plaisir pleurs poète POLYEUCTE prince PRUSIAS qu'à qu'un raison reste rien RODRIGUE rois Romains Rome sage saint sais sang satire SCÈNE seigneur sentiments seul soin sorte souffrir Télémaque terre TRISSOTIN triste trouve Ulysse VADIUS VALÈRE Vatel venger vertu veut veux Voilà vois voulez yeux
Népszerű szakaszok
425. oldal - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle: c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention; et de ne comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
434. oldal - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.
436. oldal - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
434. oldal - Qu'un ciron lui offre, dans la petitesse de son corps, des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des...
360. oldal - Il n'est point de serpent , ni de monstre odieux , Qui, par l'art imité , ne puisse plaire aux yeux ; D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
256. oldal - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots , qu'affectation pure , Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
401. oldal - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
433. oldal - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit...
225. oldal - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide.
384. oldal - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes. Je t'en veux dire un trait assez bien inventé : Autrefois à Racan Malherbe l'a conté.